Alors, de l'œuf ou de l'oie, lequel est apparu le premier ?
Réponse : c'est l'oie, c'est sûr, puisque c'est elle qui rameute sa marmaille en cacardant, criaillant, bref, klaxonnant à tout va du bas de la falaise pour motiver ses troupes. Les petits ne peuvent pas se tromper : ils connaissent déjà parfaitement et très distinctement le cri unique de leur mère au travers de la fine paroi de la coquille de l'œuf depuis le temps qu'elle le couve.. peut-être même par transmission directe ds vibrations des cordes vocales au travers de la partie volontairement déplumée de l'abdomen du volatile lors de la couvaison - pratique courante chez les oiseaux - pour optimiser le contact-chaleur nécessaire à une bonne incubation.

L’Intelligence animale en action : gestion rationnelle de la crise du logement chez les Bernard-l'hermite.
Qui osera dire après ça qu’ils ne sont pas futés ces petits crustacés ? C’est une question de vie ou de mort pour eux et ils le savent, c’est pourquoi nul ne cède sa place dans ce trafic de partage des ressources « mobilières » locales. D’où leur vient cette sagesse instinctive ?

--> https://www.youtube.com/watch?v=rLUAoTjdmZ8 3’18 BBC

Titre anglais : Hermit crab housing chain – Life story : Episode 3 preview – BBC one, commentaire de David Attenborough

Traduction : Les autres crabes… (par commodité, ns dirons juste « crabe » pour Hermit crab, Bernard l’hermite) ; les autres crabes, donc, également en quête d’une maison plus grande, ont vite fait de se rassembler dès qu’un coquillage vide est en vue, ou échoué sur la plage.
Malheureusement le nouveau coquillage est trop gros pour eux aussi…(…)..les crabes rassemblés commencent à se mesurer (ou se jauger ), entre eux et là il se passe quelque chose de plutôt étrange : ils s’organisent dans un ordre décroissant ! Le plus gros à l’avant, le plus petit à l’arrière. L’idée c’est qu’en une matinée ils aient tous changé de « propriété » (ou maison, demeure).
Mais aucun de ces crabes n’est en mesure de déménager pour l’heure, car la chaine n’est pas encore complète. Il faut encore que tous attendent que Le crabe de la bonne taille se présente… et ce crabe, c’est LUI (à 1’08). Le nouveau venu fait décaler l’ensemble de cette file d’attente vers la tête, mais la chaine est un temps déstructurée… quand elle se reforme, finalement le plus petit crabe fait sa migration et trouve sa place à la fin de la queue.
Après une inspection détaillée, le gros crabe s’installe ou aménage dans le gros coquillage vacant…et cela entraine une réaction en chaîne : chaque crabe déménage précipitamment vers la coquille libérée par le crabe situé juste au-dessus de lui dans la file (ou la hiérarchie). [ note perso: cela fait un peu penser au jeu de chaises ds les mariages... ].
Seul ce petit crabe (à 2’13) ne trouve pas de logement : un poisson arrive (avec la marée) et il est perdu. Se retrouver sans coquille équivaut à une sentence de mort : sous ces latitudes, un crabe « nu » cuit rapidement sous le soleil des tropiques, mais une fois les transactions (immobilières) finies, il reste encore un coquillage inoccupé.
Malheureusement il est trop gros, et, pire encore, il est percé ! (à 3’01). Mais bon, un coquillage, même mauvais, ça vaut toujours mieux que de se retrouver SDF, ou « à la rue » !! [ note : il lui faut donc faire contre mauvaise fortune bon cœur, ça ne durera pas indéfiniment de toutes façons]

C’est pas écolo et bien géré tout ça ? Pas de place gaspillée.

Evidemment il y aura toujours des passe-droits qui ont des idées de luxe :

--> https://www.youtube.com/watch?v=DaU5etPejZA 1’12

ça, c’est pr la vanne et le fun, mais au passage, chapeau l’artiste, il fallait y penser.

La Conque-Cheval Géante de Floride "vs" Bernard l’hermite (s) (triplofusus giganteus, anciennement pleuroploca gigantea)…

.....>C’est un gros mollusque d’environ 11 livres (5.5 kg) qui a un goût marqué pour les escargots de mer ou bulots (.. qu’il va chercher jusque ds les limons et goémons sur l’estran ou laisse de mer, à marée basse !). Aussi, lorsque l’un de ces petits gastéropodes se retrouve ds ses parages, sur son territoire de chasse, il sait qu’il est en danger ; il tente d’esquiver l’attaque, de contourner le monstre, mais c’est peine perdue ; c’est un peu comme si un youyou, une navette annexe d’un yacht ou d’un grand voilier tentait de se dérober à la poursuite ciblée d’un contre-torpilleur de notre Marine de Guerre Nationale… invariablement la proie est capturée et dévorée vivante… au final, en se diluant ds l’eau le fumet des sucs digestifs liquéfiant l’escargot attire des charognards d’un nouveau genre : les Bernard l’hermite (Hermit crabs) !
.....>En un instant la grosse conque est cernée de toutes parts par une nuée de crabes… qui ne sont venus là que pr récupérer la coquille vide une fois l’escargot/bulot consommé. Les Bernard l’hermite ont appris à se faire un outil des coquillages « désertés » et les utilisent pr protéger leur abdomen mou des prédateurs ; à l’aide de leurs membres ils s’y fixent, se calent fermement à l’intérieur.
.....>Mais quand, en grossissant, ils commencent à se sentir trop «étriqués », trop à l’étroit ds leurs demeures, ils savent d’instinct qu’ils doivent trouver rapidement un nouveau « local » plus grand, un autre abri. Les places sont chères, la compétition fait rage pr savoir qui aura le coquillage qui se « libère »… La conque tarde à s’en débarrasser… l’excitation est à son comble, jusqu’à ce qu’un des crabes, le plus vaillant et le plus intrépide de tous se décide à forcer le destin et à clore définitivement le débat en s’installant « à l’arraché » (une sorte de car jacking animal) à bord du « flat » ou appart convoité (à 2’36) !
.....>C’est un squat, un emménagement d’office particulièrement gonflé, une opération à hauts risques, car la Conque pourrait fort bien avoir encore faim et vider son « assiette » une deuxième fois…mais pr l’heure, la prise de risque aura été payante et le crabe vainqueur, celui qui remporte brillamment cette épreuve à la force du poignet, de mains de maître, gagnera d’un coup nettement plus de place et pourra grandir à son aise pr un bail ds sa nouvelle maison toute neuve (tuiles vernies svp !). 
.....>Les perdants, pour leur part, pourraient bien se retrouver à la rue, sans toit… où, pire encore : devenus trop vulnérables, ils pourraient se faire dévorer par un poisson ou tout autre prédateur en maraude, faute d’avoir pu trouver une carapace à leur taille au bon moment.

https://www.youtube.com/watch?v=ExV4b77qfww en anglais--> Hermit crab vs Conch 3’


Intelligence animale Il y a bien évidemment une bonne part de conduite instinctive chez ces Bernard-l’hermite, mais le pb c’est que l’instinct, tous en sont également équipés … alors qu’un seul d’entre eux a le déclic de se dire « si j’attends que la coquille tombe, ça va être la foire d’empoigne générale et je n’aurai aucune chance de l’avoir », et c’est là qu’il s’est décidé à forcer le destin au nez et à la barbe de ses congénères pour couper court aux aléas…gagner son appart et sortir son épingle du jeu. vous avez vu comment il se carapate ensuite vite fait en jubilant comme un lascar qui vient de réussir un mauvais coup ? Celui-là, je vs le dis, il ne demande pas son reste

• Poulpe "écolo" (... ou pas), futé et propre (sort de son abri pr aller rejeter les déchets de son repas (crabe) plus loin, en aval, ds le courant, puis revient « chez lui », ds son mobil home perso, son « deux pièces » tenu "nickel"

"Diogène", oui, mais pas crado !!

--> https://www.youtube.com/watch?v=4t6L2_jtDvo 4'47

En matière d'Intelligence Animale, c'est même pas de l'instinct, là, car c'est bien une action délibérée et réfléchie

Non-non, ça, ce serait d'un anthropomorphisme primaire un peu trop facile : ce remarquable invertébré, qui force le respect, sait par contre parfaitement qu'étant à la fois prédateur et proie potentielle, il a tout intérêt à banaliser au maximum les abords immédiats de son repaire du moment, s'il tient à passer inaperçu, condition sine qua none pr pouvoir à la fois survivre ds la jungle aquatique et se sustenter au jour le jour ; c'est d'ailleurs une des caractéristiques de l'espèce : cf ses nombreux mimétismes plus que bluffants (voir plus avant ds le sujet).
Alors, ses détritus, les restes visibles de ses agapes,
1 - s'il va les jeter en amont, le courant va le rabattre sur lui et sa précieuse cachette, il sera donc facile à localiser et donc à exterminer ou à éviter/contourner
2- s'il va les jeter en aval, le courant va au contraire les dispatcher loin de lui et il pourra continuer son petit trafic incognito, solution qu'il a bien sûr choisie
Conclusion :
Alors entre nous, je vous le dis : octopussivement parlant, ce poulpe est vraiment intelligent

La grotte fortifiée de la Crevette-Mante ou "Mantis shrimp" (espèce dite "frappeuse"), le chevalier errant , le vaillant petit combattant solitaire.


--> https://www.youtube.com/watch?v=E4ZxR1C0xmc 5’41

Celui-là est nettement moins discret que le poulpe, mais tout aussi efficace pr brouiller les pistes, regardez l'énergie qu'il déploie pr bâtir sn domaine !

La Crevette-Mante ou Mantis Shrimp casse la coquille des Clams https://www.youtube.com/watch?v=i-ahuZEvWH8 0'49

1 et 2

La Crevette – Mante a un punch dont l’impact équivaut à celui d’une balle de 22 Long Rifle !! https://www.youtube.com/watch?v=DtNAqK_V-lg 2'52
Texte de la video n° 2 (anglais) traduction libre, mais c’est assez fidèle ds l’esprit :
Le Reef (le récif corallien dit de la Grande Barrière, en Australie) est le biotope d’une autre inhabituelle et très agile « bestiole », un champion de boxe qui a le punch le plus rapide du monde. Bien que cette accumulation de violence explosive ne soit emmagasinée que ds une infime partie de son corps en queue de homard.
La Crevette-Mante n’est ni une crevette, ni une Mante. Elle a beau ressembler à sa cousine océane (la squille « ravisseuse » et non « frappeuse » comme elle) avec des pattes qui ressemblent à celles d’un insecte (…) Cette créature inclassable est une Classe à elle toute seule. Ses poings n’attendent qu’une chose : le combat.
Chacun des poings bâti comme un gant de boxe, délivre une puissance équivalent à celui d’une balle de calibre 22 long rifle. C’est impossible à visualiser à vitesse normale : la proie vole littéralement en éclats. C’est l’action la plus rapide de l’océan.
Quand vs êtes rapide à ce pt là, vs avez tt intérêt à avoir une vue perçante particulièrement performante. Le système de vision de Crevette Mante n’est pas de notre monde : elle a les yeux les plus complexes du règne animal avec douze récepteurs de lumière différents (…) Trois fois plus que les humains ; elle voit dst tes les directions à la fois.
Mauvaise nouvelle pr ce crabe (1’44/2’52) un seul punch atteint la vitesse de 50 mph (miles par heure, soit 80.7 kmh !) en 3 millisecondes ! Bien plus que ce qu’un muscle tout seul ne pourrait jamais réaliser. Leur secret ? Un cartilage en forme de selle incorporé à leur squelette (1’58/2’52) qui agit comme un ressort. La Crevette-Mante utilise ce ressort ainsi qu’un mécanisme pr stocker l’énergie et libérer le coup fatal à l’instigation du muscle. Un système de leviers augmente ensuite la vitesse du coup pr parvenir au résultat final (le Punch).
Armement, relaxe du ressort, coup de patte à 73 Pascals-seconde [(? indice de viscosité dynamique, peut-être relatif au phénomène de cavitation, genre d’hématomes gazeux générés derrière la carapace ou la coquille de la proie frappée]… c’est un combat tout à fait déloyal : in variablement c’est le crabe qui perd par K.O létal !!

A votre avis, à quoi pourrait bien servir cette superbe technologie biologique si la dureté des poings ou massues n’était pas à la hauteur ? Ce ne sont pourtant que des concrétions calcaires, comme les carapaces les plus dures des crabes (genre tourteaux ou dormeurs) et comme les coquilles de bivalves les plus résistantes telles que celles des clams
Alors, évolution, donc pur hasard ou Création spécifique ? Notez que si ses « poings » explosaient elle ne pourrait plus se nourrir du tt donc l’espèce aurait disparu depuis longtemps… on est en 2016, au XXI ème siècle, et l’espèce se porte toujours bien puisqu’on en fait même le commerce pr les aquariophiles (preuve qu’elle n’est pas menacée, sinon ce serait interdit).

Vidéo n°1  Crevette-Mante Squille : le Raptor-éclair vs fish ! 0’12

n° 2 

Crevette-Mante Squille protège sa petite queue 3’11
Vidéo n° 3  Mante religieuse (insecte), La Femelle : superbe vidéo 5’35 --> https://www.youtube.com/watch?v=gVyVjtTubNA

Remarquez l’inversion des ciseaux formés par les pattes supérieures entre la Crevette-Mante-Squille et la Mante Religieuse arboricole que ns connaissons chez nous. En fait cette inversion est une pure nécessité vu la position de guet de la Squille, tapie ds un affût vertical au fond de l'océan, une sorte de tonne pr chasse aux canards ensablée 
Si ses « avants bras » étaient orientés comme ceux de la Mante Religieuse, soit position > Tête Mante Religieuse (« 88 » figurant les yeux en surplomb) 88\/\ < - - crochets vers le sol, le temps qu’elle sorte suffisamment son corps du trou pour dégager ses pinces et lancer son attaque, le fish aurait déjà eu largement le temps d’évacuer les lieux et de s’assurer une bonne distance de sécurité !
Alors que ds sa conformation actuelle, position >Tête Crevette-Mante/Squille (oo = yeux au ras du sol): oo/\/ <- - crochets vers la surface de l’eau, sitôt que ses yeux émergent du sable, ses pattes-faucilles sont déjà parties (…et revenues, pleines ! C’est bluffant ^^) comme des harpons, des sagaies accrocheuses ou grappins avec la proie en sandwich.
Biologiquement parlant, quel lien y a-t-il entre ce crustacé tropical et la Mante Religieuse de nos campagnes et jardins d’Europe ? Du point de vue de l’évolution, absolument aucun.
Si l’on se place ds l’optique d’un Créateur hautement intelligent, par contre, tout devient par enchantement (et une fois de plus) subitement cristallin, clair comme de l’eau de roche : La technique de préhension ayant été testée comme étant « bonne », il lui suffisait de l’adapter au « projet » animal choisi, en fonction du biotope qui lui serait alloué. 
Notons qu’un insecte s’envole facilement à la verticale ou presque, il est donc très utile pr la Mante R. de pouvoir le « coiffer » tt de suite, avant l'envol. A l’inverse, un poisson doit : soit donner un coup de queue pr esquiver l’attaque en se propulsant plus loin, soit amorcer un virage pr s’éloigner vers le haut. Ds les deux cas il y a un micro temps mort que la Mante-Squille à tt loisir d’exploiter en le pinçant « au plus court » à la sortir de son trou (en gros, elle n’a qu’à tendre les bras pr se servir).

Puisque l’Homme est apparu le dernier sur la terre, là-dessus au moins ceux qui prônent l’Evolution et les tenants d’une Création intelligente sont d’accord – pourquoi ne pas admettre qu’un Créateur bienveillant - [ n'oublions pas que ns sommes arrivés nus comme des vers avec juste une tête, deux bras et deux jambes pr ns sortir d'affaire, ss aucune formation préalable, tout était à découvrir] - nous ait fourni au travers du monde animal et végétal des schémas directeurs pr ns montrer ce qu’il faut faire (le fruit rond qui roule sur un plan incliné ( : la roue), l’éclair, la foudre le feu, la fauvette couturière qui se sert de son bec comme d’une alène pr faire des trous ds des feuilles pr les coudre ensuite ensemble avec du fil récupéré sur des toiles d’araignées pr y installer son nid dedans… ou ne pas faire (contre-exemples : le squat meurtrier, cette arnaque odieuse à la « famille d’accueil » des Coucous de tous bords, le piratage aérien des Frégates dites « Magnifiques » etc…). Regardez comment la Squille fore son trou avec son système à « godet » (celui qu’elle forme avec ses pattes avant), si cela n’avait pas été découvert depuis longtemps, ça ne vous donnerait-il pas des idées pr « inventer » une machine à creuser ??

..

Voici un exemple de choses à ne pas faire  Coucous de tous bords (1 sur 2) : sylvestres, terrestres et aquatiques (ou le parasitisme familial ds le monde animal ).

• Nature of cuckoo duck BBC World wide, commetaire de David Attenborough : Le Canard-coucou d'Argentine

--> https://www.youtube.com/watch?v=4Mb0GOITRUU 4'37

Cette excellente vidéo nous montre d'abord le coucou gris d’Europe mangeant un œuf ds le nid d’une rousserolle (fauvette des roseaux) pr le remplacer par le sien* … la rousserolle ne s’aperçoit de rien… le petit coucou éclos plus tôt que les autres, encore aveugle et nu il « vire » un à un tous les autres œufs « concurrents » du nid et, comme il grossit très vite, les deux parents nourriciers doivent se relayer ss relâche jusqu’à épuisement pr satisfaire son gargantuesque appétit. Après seulement 2 semaines il vole de ses propres ailes et quitte définitivement sa famille d’accueil. David Attenborough ns apprend que le coucou, s’il est très connu pr cela , n’est pas le seul oiseau à pratiquer ce « squat familial » ; une demi-douzaine d’autres espèces au monde ont adopté les mêmes pratiques et la vidéo montre en particulier un canard argentin qui pond son œuf ds le nid d’une mouette à tête brune (sorte de mouette rieuse) nichant au ras du sol ds une touffe d’herbes aquatiques, au bord des eaux marécageuses… mais là, le caneton une fois né, n’agresse pas son ou ses «pseudo demi-frères », au contraire le jour même il leur cède la place qui leur revient et quitte le nid : il s’en va vivre et se nourrir tout seul !! Encore un orphelin livré à lui-même dès sa naissance … et qui s’en sort très bien puisque l’espèce existe toujours après des milliers d’années d’existence.

* œuf mangé… des protéines pr lui (le coucou femelle) + élimination des traces, même au sol. Notez qu’il laisse les autres œufs en place pr finir d’embrouiller la fauvette, sinon elle s’arrêterait de couver ; c’est sn petit squatter qui sera chargé du travail d’expulsion une fois éclos !!!
En fin d'Automne, sous nos contrées, il (le coucou gris d'Europe) empruntera, ss le savoir, le même itinéraire migratoire que ses parents, partis deux mois avant (eh oui, il a raté l'avion" comme dit le film , mais chez eux c'est chronique, et même congénital) qui l'emmènera passer l'hiver en Afrique et au printemps prochain il reviendra ds les parages, squatter le nid de quelque autre passereau, mais c'est souvent les mêmes espèces qui sont parasitées, d'année en année .

A suivre : Poissons-chats-coucous, les serial killers des bas-fonds du lac Tanganyika.

autre exemple de choses existant ds la nature à ne pas imiter (suite) Coucous de tous bords (2 sur 2) : sylvestres, terrestres et aquatiques (ou le parasitisme familial ds le monde animal).

• Serial killers cuckoo catfish 2’50 Poissons-chats-Coucous « tueurs en séries » de leurs colocataires «pseudo demi-frères »…

https://www.youtube.com/watch?v=tnvbVIcZZHc

Texte explicatif de la vidéo en anglais (l’esprit est conservé, mais la traduction est libre).

« Maman » dit à ces enfants-là à quel pt ce monde est effrayant et qu’il leur faut être très prudents… qd elle leur parle, elle en a « plein la bouche » ! Les Cichlidés du Lac Tanganyika, en Afrique Orientale, ont un gros pb avec les prédateurs : de leur frai et de leurs alevins, les autres poissons ne feraient qu’une bouchée ( et l’espèce serait à court terme menacée ) s’il n’avaient pas trouvé la solution toute simple de les enfourner ds leur bouche pr les soustraire à la vue et à la convoitise de ces derniers et les mettre ainsi hors de danger à la moindre alerte.
Les cichlidés créent ainsi un espace au calme, sécurisé pour les premiers ébats de leurs jeunes en utilisant leur propre bouche comme parc pr enfants avec pataugeoire incorporée. C’est pr cela qu’on les appelle « ceux qui élèvent leurs enfants ds leur bouche ». Leur bouche sert à la fois de nid et de nurserie. Comme toutes bonnes mères qui se respectent, elles laissent leurs petits sortir pr apprendre à vivre et jouer, mais sitôt qu’un danger survient et qu’ils ont besoin de protection, il est gd temps de renter au bercail ; ils se regroupent alors, se présentent devant elles et elles aspirent largement et « avalent » le mini banc « comme un seul homme ». [à 1’08].
On pourrait penser que ce système est tt à fait probant pr assurer la sécurité individuelle de chacun des marmots … Malheureusement il n’en est rien ! 
Faisons connaissance avec un prédateur qui hante les eaux du Lac : une variété de Poisson-Chats maraudeurs qui se déplacent en bandes organisées, dévorent les œufs et pillent les frayères des cichlidés… sans omettre de déposer à la place, çà et là, de manière aléatoire leurs propres œufs.
Tout comme les petits passereaux victimes du piratage des Coucous gris d’Europe, les parents sont dupés et ne s’aperçoivent donc de rien : qd les œufs éclosent, ils prennent ss distinction ds leur bouche les bébés poisson-chats ET leur propre progéniture. Ces derniers grossissant plus vite que les enfants de leurs hôtes dévorent un à un les petits cichlidés ds la cavité buccale de leur mère.
Les parents cichlidés les élèvent ensuite comme si c’était les leurs propes. Paradoxalement, les poisson-chats juniors ne connaissent pas d’autre mère… et leur mère d’adoption (involontaire) les considère comme ses propres enfants : ss le savoir elle élève et prend soin des criminels qui ont exterminé sa progéniture, toujours prête à les héberger ds sa bouche au moindre danger !!!

Bon, après avoir visionnées ces deux vidéos, ma question du jour est : par quel processus évolutif le poisson aurait transmis à l’oiseau cette technique barbare de reproduction à la « tape l’incruste » plutôt sanglante ? Ou bien est-ce l’oiseau, le Coucou gris d’Europe qui, lors de sa migration automnale vers les terres d’Afrique Orientale, en taillant la bavette avec une bande de marlous poisson-chats, à la fraîche, un matin sur les bords du Lac Tanganyika, leur aurait glissé l’idée de ce plan-squat d’enfer contre une bonne rasade d’eau douce et encore tempérée ???
Si l’on considère tous les comportements instinctifs (principe qui échappe totalement aux tenants de l’Evolution, rappelons-le ) qui sont ici impliquées de part des d’autre [ ceux des parents de part et d’autre et des petits, de part et d’autre ], cela devient un nœud Gordien inextricable et pourtant il faut bien que tous jouent le jeu pr que le système fonctionne… je vs le dis les gars : si on se bloque sur l’évolution, on n’est pas sortis de l’auberge !

… Alors que si l’on admet l’idée qu’il y a bel et bien eu Création spécifique, une fois de plus tout s’éclaire. D’abord, notons que, malgré cette prédation pr le moins mesquine, le Lac en question est littéralement envahi par les différentes espèces de cichlidés (qui comptent pas moins de 2 à 3000 espèces dans le monde), notamment grâce à cette « politique » de protection infantile rapprochée d'une étonnante efficacité
Il fallait donc trouver qque chose pr modérer leurs ardeurs reproductrices et maintenir en équilibre la plus que vitale biodiversité ds ce milieu aquatique. Mais qui aurait pris cette décision, le hasard ? l’Evolution ? Les poissons eux-mêmes ? … ou tout simplement un Concepteur surpuissant et particulièrement avisé ?

Comment naissent les cétacés

----> En regardant en direct la naissance d’un dauphineau, je me suis d’abord dit : « tiens, la mère a eu un pb, il se présente par le siège (enfin, pr lui par la queue ! )… » ; ça, c’est pas normal pr un mammifère, fût-il marin ! Et pr m’en assurer, j’ai vérifié : chez tous les mammifères, le petit sort toujours la tête la première (sauf accident intra utérin, bien sûr)…
• les antilopes, naissance éclair impala 5’48 https://www.youtube.com/watch?v=AAUWWt3O8W0
• les gnous : Naissance éclair 4’57 Gnou ds le Masaï Mara au Kénya https://www.youtube.com/watch?v=NYxkqUQ4-FY
• Les zèbres, idem ; les buffles du Cap…idem et jusqu’aux mini-vaches des Highlands, tous naissent la tête et les pattes en avant pr pouvoir de suite respirer ! Ce qui semble tt à fait logique.
• Ensuite j’ai regardé naître un requin, lui il est « normal », il sort la tête la première (parfois les petits requins-marteaux sortent à l’envers, mais pr les poissons, cela n’a pas grande importance : ils sont dans leur élément.
…Et encore un autre requin : « renard » celui-là, le « fouette-queue » que je vs ai déjà présenté : ou (thresher shark) 0’57 https://www.youtube.com/watch?v=FNDiw10CgpM tête 1ère

Alors je suis retourné regarder sur le Net voir comment naissent les autres cétacés : orques, cachalots, baleines à bosse, bélugas et autres dauphins et là, stupeur, ils naissent tous… « à l’envers » ! Y aurait-il eu un bug chez leur Constructeur ? Non-non, ça se saurait ! Voilà donc ce que j’ai trouvé :
• Orques 3’36 sur dailymotion http://www.dailymotion.com/video/x1i1zq ... ue_animals
• Cachalots (sperm Whales) Cachalot naissance (sperm whale) 4’49 http://wn.com/birth_of_a_sperm_whale midwives
Notez le travail plein de sollicitudes des «sages-femmes », ces jeunes femelles cachalot qui s’activent autour du petit 
• à voir ! Baleines à bosse 0’26 c’est furtif mais on voit très bien https://www.youtube.com/watch?v=jK9Wy3E41hU
• Béluga http://www.dailymotion.com/video/x28y7w ... chine_news
• autre Béluga, mais contre exemple , tête 1 ère 1’40 https://www.youtube.com/watch?v=N-DhMXe4nvU mais explicable par la forme ramassée du rejeton [ovoïde comme une grosse prune d’ente (à pruneaux d’Agen) ou un ballon de rugby] : une fois la grosse section passée, d’un côté comme de l’autre, le reste est expulsé rapidement, donc pas d’incidence majeure sur l’issue de l’accouchement.
• Dauphin 1’41 http://www.rtbf.be/video/detail_usa-nai ... id=1844325
En fait c’est génial ! s’ils naissaient comme tout le monde, le temps que le petit sorte du ventre de sa mère, au moindre « temps mort » (ss jeu de mot), il serait noyé en moins de temps qu’il n’en faut pr le dire.  Mais tant que sa tête reste ds le ventre de sa mère, c’est elle qui respire pour lui, si celle-ci a besoin d’air, il lui suffit de marsouiner un coup à la surface et de reprendre tranquillement son « travail » de mère accoucheuse, il n’y a pas le feu au lac (apnées de 15 à 20 mn).
Dès que le petit est dégagé par contre, en sortant la tête en dernier, il monte de lui-même se remplir aussitôt les poumons pr la première fois à l’air libre, ou bien c’est sa mère qui le guide pr cela (ou les "sages-femmes" bénévoles, voir plus haut les cachalots … et c’est reparti pr un nouveau cycle de vie.

• à voir Dauphin naissance en direct (queue la première) TagTele / FB http://www.tagtele.com/videos/voir/144480/ 3’30

• Autre dauphin, bonne qualité 1’41 http://www.rtbf.be/video/detail_usa-nai ... id=1844325 (queue toujours)

QUI a bien pu penser à cela, le Hasard ? l’Evolution ?? Les cétacés eux-mêmes ? A force de faire des enfants mort-nés, ils se seraient dit « tiens !?! Et si on les faisait plutôt sortir ds l’autre sens, peut-être qu’on en aurait des vivants ???

Allons, soyons sérieux, n’y a-t-il pas là la signature d’un Concepteur avisé, puissant et bienveillant à qui aucun « détail » n’échappe, jamais ?

Intelligence Animale  "Arnaque à l’assurance" sur un parking US :

.........> Une petite plaisanterie pr ce WE, mais vs verrez que cet oiseau en a ds la cacahuète et comment il se décarcasse pr sauver ses futurs marmots !
Selon les apparences, cette femelle de Gravelot Kildir fait mine d’avoir une aile cassée sur un parking des USA afin de toucher une pension à vie versée par l'assurance du conducteur du véhicule (ils sont très procéduriers par là-bas ). … ça, c’est la blague – excellente – d’une vidéaste américaine qui a posté une vidéo similaire sur youtube. Mais j’ai préféré mettre celle-ci car on voit très bien la « comédie » et le travail d’éloignement du nid, avec retour en gros plan sur les œufs (magnifiques) alors que l'oiseau est loin ; c’est vraiment manifeste.

--> https://www.youtube.com/watch?v=DJTt5I8K4Rk 2'22

En fait, c’est une caractéristique générale de l’espèce qui, nichant au sol, a développé ce stratagème particulier pr éloigner les prédateurs de sa couvée (les œufs mouchetés et les petits très mimétiques, se confondent parfaitement avec les graviers* du sol). Le message transmis au prédateur est très simple : "tu vois, je suis blessée, j’ai l’aile cassée, tu vas pouvoir m’attraper facilement puisque je ne peux plus voler, viens me chercher..." et bien sûr elle entraine le prédateur loin du nid, moitié courant, moitié voletant maladroitement à cause de sa « vilaine blessure » (elle ne vole que si cela devient vraiment dangereux pr elle, mais autant que possible elle essaie de donner le change pr paraître crédible. A la fin le prédateur dégoûté renonce en général.

*Graviers : c’est d’ailleurs à cause de la présence de ces mêmes graviers que les Gravelots Kildir affectionnent les parkings US situés en rase campagne pr y déposer leurs œufs.

Gravelot Kildir
En clair, dans le « pack génétique » fourni par le « constructeur », le Concepteur de ce pluvier, tout est prévu : (jolis) œufs mouchetés très mimétiques parmi les cailloux, scénario pr une comédie de diversion tout à fait adéquate pr « mener en bateau » et entraîner loin du nid (et donc de sa précieuse progéniture), les prédateurs et autres intrus, ce dernier étant installé sommairement à même le sol, ce qui est particulièrement adapté à ses longues et fines pattes d’échassier (pas de construction « en dur » et haut perchée ds les branches).
Tout, absolument tout, est inscrit ds son ADN et depuis toujours l’espèce fonctionne ainsi d’une manière générale : à des milliers de kilomètres de là, d’autres mères Gravelot Kildir jouent - sans se concerter- exactement le même « rôle de cinéma », le même numéro ou plan mimant l’oiseau-blessé-qui-a-l’aile-cassée pr faire illusion… et ça marche !! De tout temps et sous tous les cieux, c’est bien connu, les « chacals » et autres « raptors » de tous bords ont toujours privilégié la recherche de proies faciles, préféré taper ds les ventres mous ss défense et sélectionné les opérations sans risques pr gagner un bon repas et faire en quelque sorte une « bonne affaire »… c’est ainsi que ds la vraie vie on les leurre, on les berne et, au final, on les piège facilement (que ce soit à la chasse, à la pêche ou chez les humains pour résoudre les affaires criminelle).

NB : Même si cette conduite atavique de diversion est probablement le fruit d’une imitation de ce que les petits gravelots connaissent depuis leur plus tendre enfance et même avant, dans l’œuf ils ont forcément entendu à travers la paroi les pseudo-cris de détresse qui accompagnent le scénario catastrophe de leur mère, parade qu’elle ressort à la moindre alerte (nombreuses ds le monde des oiseaux), auquel cas on se retrouve ds la phase d’apprentissage du poulpe « orphelin », preuve de l’existence d’une intelligence animale, il n’empêche que cette attitude de pure Sagesse Instinctive est inscrite en eux depuis la nuit des temps (du moins celle des origines) et la preuve que la formule fonctionne plutôt bien, c’est qu’ils sont toujours là en 2016.

Mimétisme : faisan à 0’32 et œuf et petits gravelots Kildir au nid (à terre) à 0’41 & à 1’34 le butor américain (on en reparlera du butor )

--> https://www.youtube.com/watch?v=GpAEdJgci_0 2’ 02

Différence de parure, livrée ou plumage mâle/femelle ds le monde animal

___En parlant de Sagesse Instinctive et de choses qui dépassent à la fois le domaine de l’Evolution et celui de l’initiative « personnelle », c.-à-dire propre à chaque individu dans l’infinie biodiversité animale, cette profusion d’espèces qui peuplent notre planète, comment expliquer la différence « criante » qui existe entre l’aspect, la parure des mâles souvent « flashy », hautement colorée de nombreuses espèces, surtt chez les oiseaux (Faisan/poule faisane, Coq/poule sauvage, Coq/poule de Bruyère, Paon/paonne, oiseaux de Paradis, passereaux etc…) et les femelles toujours plus « neutres », ternes, effacées, dont les couleurs se noient et se fondent aisément ds le paysage, le décor ambiant.
___Prenez l’exemple d’un couple de faisans : en vous promenant ds la lande ou le bocage, si vous n’êtes pas accompagné d’un chien à l’odorat très performant, vous pourrez très facilement passer à quelques dizaines de centimètres d’une poule faisane tapie à terre ou couvant sur son nid, ss même soupçonner sa présence [elle sait même retenir son odeur en s’arrêtant pratiquement de respirer au passage d’un limier, j’en ai été personnellement témoin, avec les trois autres chasseurs que j'accompagnais ce jour-là ! ( dsl mais c'était il y a très longtemps)]… alors que si c’est un coq faisan blessé ou fatigué qui piète ds les herbes hautes ou les touffes de joncs sur un sol marécageux, avec ses couleurs vives vs ne verrez que lui !
Une tentative d’explication serait que le mâle doit être visible de loin par ses congénères et crier/chanter haut et fort pr signaler sa présence afin de faire respecter les limites de son territoire d’une part, et être identifié par sa femelle potentielle à la saison de nidification d’autre part. La femelle, quant à elle, doit se faire la plus discrète possible pour passer inaperçue, autant que faire se peut si elle veut être protégée, elle et les petits, qd elle couve sur son nid ; surtt qd celui-ci est à même le sol (voir ci-jointe la vidéo sur l’engoulevent, c’est bluffant).
____Mais QUI a décidé de cet état de fait estampillé du sceau du bon sens ? QUI aurait ainsi fait preuve d’une aussi remarquable logique? Le hasard ? La « bonne-mère » Nature ? Encore l’évolution ? Ou un Concepteur intelligent, créateur de « Mère Nature » et directeur du Hasard qui a mûrement pesé la chose … et surtt a su la mettre en oeuvre à grande échelle, l’échelle planétaire, car c’est un principe trop général partout sur Terre pr qu’on puisse encore parler de « coïncidences » : consultez le premier livre animalier sérieux, c.-à-dire bien illustré) que vs trouverez sur les oiseaux, que ce soit ceux d’Europe ou du Monde, et voyez la différence flagrante de livrée ou plumage entre les mâles et les femelles. Vous serez vite, j’en suis persuadé, convaincus que le seul hasard n’a pas pu faire que tt cela se soit mis en place en même temps, partout à la fois.
___Cette « politique » de protection de la cellule familiale indispensable à la vie et à la survie des espèces est à l’évidence totalement volontaire et ciblée ; elle a su faire ses preuves depuis des dizaines de milliers d’années, alors pourquoi ne pas simplement reconnaître les faits, ceux que ns avons sous les yeux ? Qd on parle du vivant, de ses incroyables capacités de survie ds les conditions les plus adverses, et de sa propension à « rebondir » malgré les ravages causés par l’Homme et sa folie …. Il n’y a aucune place pour le hasard : la vie a bel et bien un but et Celui qui l’a conçue ds cette merveilleuse (bio) diversité à couper le souffle mène à bien son projet, sous nos yeux aveuglés, quoi qu’il arrive.
___Le soleil, cet astre « moyen » qui est à 149 millions de kms de nous, ns ne pouvons pas le regarder à l’œil nu ne serait-ce qu’une fraction de seconde, au risque de perdre définitivement la vue, la rétine irrémédiablement brûlée. Comment pouvons-nous prétendre avoir besoin de voir Celui qui a conçu tout cela ( et tt le reste ?!? …alors que cet astre n’est qu’une infime partie de l’Univers qu'il a créé, que l’on se tourne vers l’infiniment grand ou l’infiniment petit*) pour décider de croire en son existence alors que sa « main » ou sa signature est partout de quelque côté que l’on se retourne.

*infiniment petit : L’homme se glorifie avec quelque raison d’avoir réussi à mettre au point des drones, ces concentrés de technologie…Mais qu’est-ce qu’un drone à côté d’un simple moustique qui voit,qui vole, a faim, a froid, a peur (approchez la main pr l’écraser, il s’enfuit !) vous sent et vous voit, il peut trouver la femelle pr se reproduire et peut même malheureusement nous infecter inconsciemment en véhiculant certaines terribles maladies ?? .

Engoulevent au nid, à même le sol : fabuleux mimétisme !! 0’59 Fiery-necked nightjar (caprimulgus pectoralis)

-> https://www.youtube.com/watch?v=7JzELgqdicQ (titre : Pouvez-vous localiser l'oiseau ?)