Allez, cadeau, une petite blagounette toute fraîche, en live, pr détendre un peu l'atmosphère en ce milieu de semaine :
Ce matin, en passant devant le rayon « poissonnerie » de la supérette du coin, j’ai eu l’idée saugrenue de poser une question existentielle d’une importance « capitale » à la fille qui tenait le banc (elle a bien failli en faire une méningite, la pauvre) : je lui ai simplement demandé si elle avait une idée de la raison pr laquelle certains poissons plats semblaient « couchés » sur leur flanc droit comme le Turbot, le Flet, le Flétan noir (Groenland ?), la Cardine ou limande, la Barbue etc… et d’autres sur le flanc gauche telle que la Sole, la Plie ou Carrelet et le Flétan blanc (Atlantique ?) etc… **

C'est un peu comme si à l’âge adulte ils avaient étés « écrasés », aplatis, repassés et « amidonnés » ds cette position
___[Entre nous] Qu’est-ce ou plutôt "QUI" aurait bien pu décider qu’il en soit ainsi ? L’évolution ? le hasard ? … ou qui-vous-savez (vs le savez bien maintenant) !?!

Réponse de la fille, blasée, les yeux ronds comme lorsqu’on voit débarquer un martien pr la première fois… (enfin, j’imagine ) :
--> Bah vs savez, Monsieur, faut bien qu’on fasse une présentation ou une autre sur l’étal… alors les poissons, ça vient comme ça vient !!.... (sous-entendu : ils se présentent couchés à droite ou à gauche, c’est comme ils veulent) !  j’ai adoré

** j’ai qd-même appris, en faisant ces recherches, que les alevins, les juvéniles de ces espèces de poissons plats ont des deux yeux normalement positionnés de chaque côté de la tête au début de leur vie ; ce n’est qu’en grandissant et en adoptant leur position caractéristique et définitive à plat sur le fond que l’un des yeux « migre » pr se retrouver à côté de l’autre, du « côté où il se passe toujours quelque chose ». Il est même précisé ( ) que côté sable il ne servirait plus à grand-chose… ss être un technicien BAC + n de l’Ifremer, on s’en serait un peu douté qd-même.

Moi et mes enfants après moi avons eu beau rester longtemps couchés sur le ventre petits, aucun de nous à ce jour ne s’est retrouvé avec des yeux derrière la tête !

Quand "l'instinct" donne des ailes aux chèvres de haute montagne...

Visionnez d'abord cette vidéo du champion olympique Mike Powell, regardez ce geste puissant et magnifique lorsqu'il prend on essor et demandez-vous quel est le coach génial qui l'a entraîné pr lui permettre d'atteindre un tel niveau de performance et une dynamique aussi parfaite.

--> https://www.youtube.com/watch?v=QVPC800jbFo surtout Mike Powell de 0’50 à 0’59

Bon, vs avez vu ? Maintenant regardez bien ces bouquetins -"Ninja" de l'Himalaya, ces chèvres de haute montagne-hyper stressées-fuyant comme si elles avaient le diable aux trousses (probablement suite à des coups de feu d'un gros calibre de chasse dont l'écho résonne entre les parois rocheuses ?) ; ds leur précipitation elles arrivent à se piéger elles-mêmes ds un cul-de-sac, au sommet d'un piton rocheux : voie ss issue... pr nous oui, mais pas pr elles. Il a un autre piton, juste à côté et c'est en s'appuyant sur lui qu'elles vont faire cette incroyable descente d'une cinquantaine de mètres, en zig-zags, sans se blesser. Notez bien le mouvement de repli/détente qu'elles entretiennent pendant leur saut pr booster/optimiser leur trajectoire en améliorant instinctivement leur énergie cinétique... Qui ? est leur coach, l'entraineur d'exception qui a intégré ces notions vitales ds leurs gènes ?

https://www.youtube.com/watch?v=9j0B-3xVKuc 0'53

NB : Certains commentaires prétendent que c'est un faux (trafiqué), perso je ne pense pas, mais c'est sans importance car je me souviens avoir vu, il y a longtemps, à la télé un reportage sur une harde conséquente de chamois qu'on rabattais vers des filets pr les récupérer vivants et qui dévalaient des "cheminées" dans les Alpes ou les Pyrénées (Isards, ds ce cas) ds un train d'enfer en sautant par moment d'une paroi sur l'autre jusqu'en bas... je n'ai pas retrouvé de trace de ces images d'archives, c'était peut-être une émission de Frédéric Rossif sur "la vie des animaux" ??

heu.... la cinématique et la force gravitationnelle font tiquer un peu mes capacités d'"avalage de couleuvre". Là, c'est clair que la trajectoire RECTILIGNE des bestioles est ....déroutante. Fake à mon avis.

Slt Régis, c'est vrai qu'on ne peut pas être absolument affirmatif ds un sens ou ds l'autre ; mais regarde ce gibbon super agile et le mouvement de ses bras qu'il balance pr booster son saut (à 0'27) au moment de passer d'un arbre à l'autre... c'est pas un peu ça ?

https://www.youtube.com/watch?v=wcaNOBEfjhE total 0'38

Caadix ... ... / Roland

Notons que ds les deux cas (bouquetins et gibbon) il s'agit de départs arrêtés et que le geste est donc destiné à compenser le manque d'élan.
Pr répondre à ta remarque d'épervier sur la trajectoire "RECTILIGNE" des chèvres de montagne (... pas tt à fait qd même, avoue ), note ceci : si un corps chute à la verticale, sa trajectoire est une ligne droite ; pour un saut à l'horizontale, la trajectoire est un arc de cercle bien marqué... alors pr un saut vers le bas à ~ 45°, la trajectoire est forcément un compromis entre les deux , non ?

Bernard l’hermite : "jamais sans mes anémones"

Incroyables prises de vues d’un Bernard l’Hermite changeant de coquille tt en conservant « ses » anémones-colocs 2’39 BlueWorldTV

--> https://www.youtube.com/watch?v=dYFALyP2e7U https://www.youtube.com/watch?v=nG_g8PHVWDE

Traduction (libre mais fidèle) du commentaire :
----> Le meilleur type de symbiose est appelé « mutualisme », c’est celui où les deux parties retirent vraiment quelque chose du deal ou de l’accord passé. Prenons par exemple le Bernard l’Hermite : il a sur son dos un « jardinet » de petites anémones qu’il promène partout où il va. Les anémones lui fournissent une protection contre les prédateurs tels que les poulpes parce que leurs tentacules piquantes/urticantes délivrent à l'agresseur un choc puissant. Les anémones en contrepartie ont tt intérêt à vivre à l’abri de ses pinces et de ses pattes sur sa coquille car les crabes turbulents leur tournent ss cesse autour en quête de leur prochain repas ; le B. l'Hermite étant un nécrophage, elle bénéficie également des reliefs de ses repas.
----> Tout se passe donc très bien jusqu’à ce qu’en grandissant il ait acquis du volume et soit par conséquent obligé de se trouver un coquillage plus grand en guise de logement. Dès qu’il en trouve un, il lui est facile de s’extraire de l’ancien pr s’enquiller vite fait ds le nouveau… mais que faire des précieuses anémones ?? Elles sont si importantes pr lui qu’il doit les persuader de le suivre sur sa nouvelle demeure : sans elles il est trop vulnérable, sans aucune défense. ----> Doucement, en les titillant, en les "peignant" délicatement de ses pattes griffues sur leurs tentacules chevelues, le Bernard l’Hermite finit par les convaincre de délaisser leur ancrage sur l’ancienne coquille ; notez qu’aucune autre créature n’aurait pu leur faire lâcher prise, même en tirant dessus ! Dès que l’anémone s’est détachée, le Bernard l’Hermite la positionne tt simplement là où elle doit aller et c’est d’elle-même qu’elle se refixe au bon endroit… pendant que le B.H s’occupe déjà du transfert de la suivante.
----> Quinze minutes plus tard, avec ses anémones « replantées » sur le toit de sn nouveau carrosse, le B.l'Hermite termine sn déménagement en laissant derrière lui une coquille vide, un logement vacant pr un congénère qui jauge juste une taille en dessous de lui.

Dites-moi franchement, n'y a-t-il pas du génie là-dedans ?
Ce n'est pas un cas isolé, la symbiose est connue, mais ce qui est vraiment fabuleux c’est ce transfert délibéré, volontaire… et consenti par tous les intéressés ! voir --> https://www.youtube.com/watch?v=nG_g8PHVWDE (6'08) à partir e 4'05

Des canetons, des oisons comme s’il en pleuvait :

Canards Carolins et Harles : Ils nichent dans des trous d'arbres comme le pivert...
...mais la différence avec les oisons des bernaches nonettes éclos au sommet des falaises de l’arctique ou du Groenland, c’est que s’ils sautent de moins haut (120 m de chute libre pr les oisons contre 15-20 m maxi pr les canetons des bois), les canetons de Canards Carolins et de Harles ont un challenge supplémentaire à relever. Comme ils naissent dans un profond trou d’arbre et qu’ils n’ont encore pas le moindre embryon de plume ou d’aile pr voler, ni même voleter, il faut qu’ils commencent par escalader la paroi intérieure du tronc « à pattes nues » pr accéder au trou d’entrée, donc à l’air libre ; par conséquent, leur premier exercice de survie, c’est une séance de varappe à l’instinct ! Heureusement que « Mère Nature » [ha-ha-ha, je vs jure, celle-là… ] a « pensé » à tout : leurs petites pattes palmées sont équipées de mini-griffes acérées qui leur servent de piolets pr s’agripper aux rugosités du vieux bois. D’ailleurs à l’intérieur des boîtes de nidification que les z’étasuniens mettent généreusement à leur disposition en haut de piquets ancrés sur des points d’eau tranquilles, ils ont tapissé la paroi lisse de contreplaqué, côté trou, avec du grillage plastifié à petites mailles carrées pr leur servir d’ «escalator » ou d’échelle de corde rigide sur plusieurs dizaines de centimètres… et ça fonctionne fort bien (23 canetons s’éjectent ds le vide sur l’une des vidéos, toujours le lendemain de l’éclosion ; eh oui, faut bien qu’ils se mettent qque chose sous la dent ces petits, et vite !).

• Couvée de Harles couronnés (lophodytes cucullatus) Hooded Merganser : plongeon collectif en freestyle ds un sous-bois (15 m de hauteur).

--> https://www.youtube.com/watch?v=bDJw43BJtCE 3’27

• Couvée de Canards Carolins (aix sponsa), dans arbre creux dans un sous-bois https://www.youtube.com/watch?v=JkBSkFy ... tml5=False 1’33
• Petits Carolins (Box contreplaqué), 3’55, le jour du grand saut https://www.youtube.com/watch?v=Bn5LpnO5dkM


Les Bernaches du Canada font des nids rudimentaires à même le sol (juste tapissé de duvet) ds touffes herbes au ras de l’eau pr la plupart, pourquoi certains oiseaux de la même espèce choisissent-ils de squatter les nids ou aires des balbuzards (ils ne savent pas construire un nid de branchages eux-mêmes)– hors de portée des prédateurs terrestres – sur de vieux arbres morts à proximité des points d’eau ? Alors que les parents-oies ne nourrissent pas leurs petits au nid (ils ont plutôt une vocation de pâtres ou bergers), il y aura donc dès la naissance des oisons un sérieux pb de logistique qui va se poser pr récupérer la couvée au niveau du sol afin de l’emmener brouter. Alors, « instinct » ou plutôt choix délibéré donc intelligent ? à quel moment se fait le choix du site de nidification (en haut ou en bas) ? Les deux associés du couple se mettent-ils d’accord ? Comme il y a deux options possibles (pour la même espèce, rappelons-le), comment savoir d’avance si les oisons seront capables de s’éjecter du nid ds le vide pr que leurs parents puissent les récupérer au sol et continuer de s’en occuper normalement ? Le cahier des charges est-il le même pr tt le monde ? Il y a bien un moment où le couple doit faire un choix : c'est "en haut" ou "en bas", il n'y a pas à tortiller de la queue ... donc le libre arbitre intervient qque part et on est bien devant une forme d'intelligence animale, non ?

Bernaches du Canada : Where geese nest in trees - Là où les oies nichent dans les arbres (Montana) 22’10 https://www.youtube.com/watch?v=wHyuYvvNMe4
Exemple de nid au sol https://www.youtube.com/watch?v=a5TX96e ... tml5=False

"Je parie que vous n'avez jamais su que les canetons ça rebondissait".... c'est le titre de cette vidéo en anglais

Je vous la rajoute car elle est vraiment trop chouette

--> https://www.youtube.com/watch?v=Jhp7vwvAic 4'55

Une compagnie de 14 apprentis paras regagne le plancher des vaches, coachés par leur mère qui les réceptionne au pied de l'arbre (notez que ttes les mères canes ou oies - de espèces nichant haut perchés bien sûr - sont au sol pr accueillir et protéger leur progéniture... et pr les encourager de la voix à faire le grand saut).

Mais ma question du jour est : comment se fait-il qu'au quatorzième (et dernier) pialou atterri la cane tourne les talons et lève le camp suivie de sa marmaille ?? Est-ce qu'elle les avait comptés dans le nid avant d'en sortir définitivement ? Sachant que tous les œufs ne sont ps forcément "bons" et n'éclosent pas systématiquement Regardez ses allées et venues méticuleuses, son inspection minutieuse tant que le groupe n'est pas au complet, c'est beau à voir
à moins que ce soit le dernier arrivé qui lui dise en langage canard : "c'est bon M'man, on peut y aller maintenant : il n'y a plus personne la haut !"
... Toujours est-il que dans les deux cas il se passe bien qque chose en relation avec l'intelligence animale

Le Pinnothère ou Crabe petit pois (pinnotheres pisum)
____>En consommant des moules ou en ouvrant des amandes de mer, des clams ou autres bivalves, ns sommes tous tombés un jour ou l’autre sur des petits crabes bien « gigouillants » qui semblaient vivre normalement en bonne intelligence avec leurs hôtes. Au départ j’ai toujours pensé qu’il y avait là une symbiose caractérisée entre des bébés crabes en mal de nurserie et les bivalves trop contents d’avoir trouvé quelqu’un qui paie son loyer en nature, en faisant le ménage buccal gratos… (j’allais dire en assurant l’hygiène bucco-dentaire, comme les crevettes pr les murènes etc…mais ça ne le fait pas ).
____>En fait son rôle est controversé : ce serait plutôt des relations de pur parasitisme selon Wikipédia ( ?), ou plus vraisemblablement une symbiose bien pensée comme le dit Maréis (puisqu’ils peuvent entrer et sortir à leur guise *) ; mais surtout ce sont des crabes nains (pinnotheres pisum ou Pinnothères / crabes petit pois en Français) qui ne font pas plus de 10 à 15 mm à l’âge adulte. Le mâle (plus petit que la femelle) aurait la carapace plus dure et opaque, la femelle est translucide, on peut lui faire la radio des organes à l’œil nu  .
____>Voilà, c’est tout, je voulais juste partager cette « découverte » avec vous : il s’agit d’une espèce de petits crabes particulière spécialisée dans le squatt pr certains ou la collocation active pr d’autres des bivalves.

* (entrer et sortir librement) preuve indirecte : il n’y a en général qu’un crabe par bivalve, mâle ou femelle… et il faut bien qu’ils se rencontrent pr frayer ! donc ils doivent inévitablement bénéficier d’autorisations de sortie et (vital !) de re-rentrée, quand ils veulent. Et puis, si c’était vraiment un parasite comme le pensent certains**, les bivalves (moule ou amande de mer) expulseraient facilement du cockpit ce corps étranger, alors qu’ils le tolèrent au contraire très bien, preuve que chacun y trouve son compte… donc j’opterais plutôt pr « symbiose ».
** voir « Crabe » (instructif) 6min33 https://www.youtube.com/watch?v=17BA5f5 ... tml5=False

Crabe entre dans une moule (librement) 0’20

--->https://www.youtube.com/watch?v=QCrvM6_wNjo

Crabe s'auto-ampute (autotomie) pour battre en retraite après une attaque manquée.

____> Les pinces d’un crabe sont des outils multifonctions d’une importance majeure pour leur survie ds la jungle aquatique avec lesquels ils peuvent chasser, se nourrir, attaquer/se défendre etc…Bref, vivre, tt simplement. Mais ces formidables atouts peuvent subitement devenir les pires des entraves, des boulets de forçat « anti-fuite », un poids mort infernal – sur terre comme dans l’eau – une fois dévitalisés suite à une mauvaise blessure, comme ici, dessoudé par le puissant bec d'un couple de parents Fous (..de rage qu'on veuille s'e prendre à leur progéniture ). Et comme les crabes sont de perpétuels attaquants, les risques sont fréquents.
_____>En cas de nécessité, ces valeureux combattants n’hésitent pas à s’automutiler en effectuant sur eux-mêmes, dans l’urgence, une chirurgie de campagne drastique (appelée autotomie) en pratiquant, sur le bord du chemin et à l’aide de l’autre pince toujours valide, l’ablation du membre mort.
_____>Le commentateur de la vidéo dit (..et c’est bien vrai, je l’ai vérifié sur le Net et en live auprès de marins pêcheurs professionnels) que de toutes façons le membre manquant va se reconstituer lors des prochaines mues ! En attendant, cet allègement de taille lui permet de retrouver sa mobilité et d’effectuer prestement un repli stratégique en bonne et due forme, loin de la zone des hostilités après cette attaque qui a plutôt mal tourné pr lui et sa tribu.

Intelligence animale Ce qui est frappant, c’est le geste précis, comme s’il avait l’habitude. On dirait un humain handicapé d’un bras et déjà appareillé qui démonte sa prothèse d’un quart de tour pr faire sa toilette ou avant d’aller se coucher. Notez qu’il ne bricole pas à essayer de couper au plus fin, à « l’épaule », là où l’articulation est défectueuse, mais qu’il empoigne carrément le gros de la pince pr avoir un couple – donc une force – maximal… et ça le fait très bien, la technique est sans appel !! Il a fallu en outre qu'il prenne cette décision sans tarder, sur le vif, s'il voulait sauver sa peau face à un ennemi déterminé et en furie

--> https://www.youtube.com/watch?v=WVF-lB4CKZQ 1'22

Parade nuptiale façon « music-hall » : le ballet élaboré du Manakin fastueux (chiroxiphia linearis).

Une sorte de "Roulette Russe" version animale, mais infiniment plus romantique ("barillet" à 7 coups)… qui(?) au final, aura la corde au cou ?

--> https://www.youtube.com/watch?v=zRkbwI8EM_w + 2’19 : 7 mâles danseurs en farandole

Intelligence animale en action ----> Notez qu’ils ne se battent pas pour savoir qui aura la femelle : ceci est établi d’avance et le futur est dans le groupe de danseurs, les autres sont làjuste pour l’épauler, ce sont peut-être de jeunes adultes non encore matures qui sont là pour se « faire la main » Et peut-être que le mâle que l’on voit ici assisté dans son plan-drague renverra l’ascenseur le jour où l’un de ses coéquipiers d’aujourd’hui aura besoin de lui pour constituer sa propre troupe afin d’épater celle qui lui permettra de fonder son foyer perso ?
____>Le Hasard et sa complice « Mère Nature » ont encore fait fort sur ce coup-là ! Quant à l’Evolution… où est la sélection naturelle ? Dans l’agilité des danseurs ?
_____>L’Evolution à elle seule, est incapable d’expliquer ou de justifier de tels comportements, on est loin de la basique nécessité de reproduction des espèces. Par contre – l’homme étant apparu sur terre en dernier, après les animaux, là-dessus tt le monde est d’accord – l’existence d’un créateur bienveillant qui démontre, par le biais de cette belle « revue » naturelle, à des spectateurs conscients, à savoir les humains, le rôle privilégié, digne de considération que doit avoir la femelle (donc pour l’humain, la femme) dans son dessein grandiose, en temps que porteuse de vie (et la transmettant) et « ciment » du foyer, est ici tout à fait manifeste : si l'on se cantonne au concept très réducteur de vision évolutionniste, quel avantage pour l’avenir de l’espèce « manakin fastueux » y aurait-il à ce que le père soit un super bon danseur qui ait du style et le pied léger, aérien ???

Raisons pr lesquelles je vs mets des vidéos en anglais et que j’utilise les noms scientifiques latins :
ce sont des passepartouts universels qui nous ouvrent toutes les portes du Net.

Prenons l’exemple que je viens de citer : l’oiseau de paradis « manakin fastueux ». Faites une recherche sur Google à ce nom, en prenant soin de cliquer sur « vidéos » et vous n’aurez …rien, strictement RIEN !
Maintenant si vs allez sur oiseaux.net Amérique centrale – Costa Rica, à l’entrée « Manakin Fastueux », vous aurez à la fois le nom scientifique latin chiroxiphia linearis et celui anglais « long-tailed manakin »…
En revenant sur Google, vous essayez en latin  une pleine page de vidéos vs est proposée, ds toutes les langues car le moteur de recherches ne sait pas en quelle langue vs le voulez, mais peu importe car les images parlent souvent d’elles-mêmes.
Vous essayer le nom en anglais : idem, une pleine page de vidéos apparaît …
Alors il n’y a pas photo : si on veut avancer il faut « faire feu de tout bois », et en ce qui nous concerne, quand c’est possible, rechercher en « trilingue » ; pas besoin d’avoir fait du latin pour faire ces recherches : la seule connaissance du nom de chaque espèce suffit, mais au moins on sait que c’est bien celle qu’on cible qu'on aura et non un quelconque taxon.

En guise de conclusion : ce n’est pas par prétention personnelle, pour vouloir épater qui que ce soit, c’est juste une simple nécessité, et en incluant ces données (noms latins/anglais), je vous ouvre la voie à vos propres investigations, ultérieurement… si le cœur vous en dit.

Balbuzard pêcheur, Western Osprey ( Pandion halietus) Le pêcheur par excellence

Vous vous souvenez du Balbuzard qui était allé embrocher un beau flétan tapi sur le fond (mon post du 27/11/2015) rappel :  https://youtu.be/-KoSqvrVuMs [au tout début de la vidéo]…. Eh bien celui-là c’est à pleines « poignées » grouillantes de fish ou à pleines serres qu’il pêche « à l’épervier » ; quelle brochette, en un clin d’œil !!!
Intelligence animale : C’est bluffant, jamais vu ça regardez comme ils s’adaptent à la situation, dosent leur effort et affinent leur technique de pêche en fonction de la proie (ou des proies) ciblée(s) et de la situation (pêche de surface/entre deux eaux/pêche de fond).

--> https://www.youtube.com/watch?v=nA3LtXnNIto 2’51

et cet autre obligé de tracter jusqu’à la berge ce trop gros Black, façon "Abeille" de la SNSM, mais « à la rame » ! . https://www.youtube.com/watch?v=IU-bjaxVtxs 0’26

Intelligence animale : un Crabe Parapentiste (filmé par équipe Cousteau)

--> https://www.youtube.com/watch?v=l2Px03bHbA0 1’42 https://www.youtube.com/watch?v=KA5db8jM4lk même en aquarium

Nota : le commentaire en anglais est traduit en dessous de la vidéo sur YouTube.

- A sponge with legs? Cousteau divers are captivated by the tumbling sponge that turns over to reveal its propulsion system: a sponge crab. These crabs use their pincers to snip off and shape a piece of living sponge. With their stunted hindmost legs, they hold the living sponge in place on their back. Most sponge crabs use a piece that fits more snugly but this clever crab chooses a sponge that serves not just as camouflage but also as a parasail to move quickly over the reef.

- Une éponge à pattes ? Les plongeurs Cousteau sont captivés par la culbute d'une éponge qui se retourne pour dévoiler son système de propulsion : un crabe éponge. Ces crabes utilisent leurs pinces pour s'emparer d'une éponge vivante et la façonner. Avec leurs dernières pattes arrière rabougries, ils la maintiennent sur leur dos. La plupart de ces crabes utilisent une éponge plus douillette, mais celui-ci, plus malin, en a choisi une qui lui sert non seulement de camouflage, mais aussi de deltaplane pour évoluer rapidement au-dessus des récifs.

les plongeurs lui enlèvent délicatement sa première éponge-parapente et le relâchent... il se met aussitôt au travail pour s'en retailler une autre avec laquelle il redécolle , trop fort !

Une petite idée de CR
sur une autre merveille de la nature
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=nPV_MsdEfco

Au plaisir de te lire

Le Polatouche, l’écureuil volant du delta du Mississipi de « Bud-La-Rochelle »

--> https://www.youtube.com/watch?v=nPV_MsdEfco 2’49

______\ Intelligence animale Ce joli petit animal est un expert hors pairs en balistique. Imaginez, il ne peut « voler » au sens propre, même s’il a une parfaite maîtrise de son très long vol plané (jusqu’à 80 m !) ; alors pour arriver directement au nid, dans son trou d’arbre perso, comme on le voit faire vers la fin de la vidéo, il doit pouvoir instinctivement calculer de manière très précise son point d’envol en partant d’une autre branche lointaine ou d’un tronc d’arbre. Si l’on considère que sa trajectoire représente l’hypoténuse d’un triangle rectangle / petit côté pointé vers le haut / grand côté partant à l’horizontale sur le bord du trou, à l’entrée du nid, il doit être en mesure de déterminer avec précision la valeur de ce petit côté pour savoir très exactement jusqu’où grimper et d'où partir afin d’arriver pile poil chez lui.
______\ C’est en outre très futé de sa part car en procédant ainsi – par la voie des airs – aucun prédateur (je pense aux serpents arboricoles) ne peut le suivre à la trace et remonter jusqu’à ses petits.