pour les amoureux de la nature et des grand espaces ,un bon film pas trop connu ce soir, avec robert redfort et realisé par sidney pollack sur arte.

http://www.programme-tv.net/cinema/2042 ... h-johnson/

en gros, ne me demandez pas pourquoi mais c'est mon film preferé

a++

Demain , sur M6 , Into the wild
Si vous ne l'avez jamais vu faite vous plaisirs ( plutôt que regarder les espagnols nous apprendre les bases du foot )

Il t'a marqué ce film à priori

Oui , j'avoue que j'y pense souvent en Pek , le matin quand le soleil nous montre ces premières lueurs , les oiseaux se réveillent tranquillement et interrompent le silence parfait , quelques coup de paguais , même si on a les doigts complètement gelés , on apprécie le moment de faire qu'un avec la nature.

Faites se que vous voulez , mais moi demain c'est tout vu

Sans oublier Eddie Vedder, le baryton préféré de notre maçon électrique

Bonne fête Erwan

ave la cie
ce soir un petit chef d'oeuvre sur TCM "l'homme tranquille de john ford avec john wayne et maureen o hara" une pure merveille du 7ème art; pour ceux qui aime l'irlande ce film rend le plus bel hommage à cette terre verte, bordée par le bleu de la mer; couleur prédominante du film.
Bien sur ce film c'est comme une vieille croute de MICKAEL ANGE, certain voit ça comme une croute ou il passe sans la voir, d'autres s'arrêtent dessus et peuvent passer la journée à la contempler.
bref on se refait pas
Le combat final entre john wayne et victor mclaglen (le fameux sergent cannon qui joua dans beaucoup de western avec son pote john wayne) figure parmi les scènes d'anthologie du 7éme art.

A++++++++++++++++++

Pour les amoureux de la nature sauvage, du respect des valeurs, une belle aude à la liberté, contre notre société, la fraternité : bref des idéaux qui de nos jours n'existe quand film;et c'est ce soir sur cine+classic à 8h45 franchement un pure chef d'oeuvre "seuls sont les indomptés



LE SUJET
La dérive, dans les années 1960, d'un cow-boy des temps modernes épris de liberté et nostalgique d'un passé révolu. Par romantisme, il devient un hors-la-loi.

Dans les années 1960, un cow-boy romantique nommé Jack Burns vit en marge de son temps. Mal à l'aise dans l'Amérique du progrès, il refuse la technologie moderne. Jack Burns a pour seule compagnie sa jument, baptisée Whisky. Jadis amoureux de la belle Jerry, il n'a cependant jamais voulu lui sacrifier sa liberté. De passage dans la ville où ils se sont rencontrés, le cow-boy décide de lui rendre visite. Il apprend alors que Jerry a épousé Paul Bondi, un ami d'enfance, et que celui-ci est en prison. Jack veut à tout prix l'aider à s'évader. Mais une bagarre éclate et il rejoint Paul dans sa cellule. Avec audace, le cow-boy parvient néanmoins à s'enfuir peu après et se dirige sans tarder vers la frontière mexicaine...
Notre avis

Interprétant un cow-boy solitaire refusant la société moderne, Kirk Douglas offre une superbe composition. Un western émouvant au scénario très original signé Dalton Trumbo.





a+

Merci mr Eddie.... oups

SALUT AMIS CINEPHILE
pour moi ce soir c'est sur ciné-classic-sat



Le Temps de la colère (Between Heaven and Hell) est un film américain réalisé par Richard Fleischer (euh pas besoin de vous présenter un des maitres du 7éme art: ................) et sorti en 1956.
Synopsis

Sam Gifford est un riche propriétaire de champs de coton dans le sud des États-Unis. Il est marié avec Jenny Cousins, la fille d'un militaire. Imbu de lui-même, il mène une vie de plaisir et montre un mépris évident pour ses ouvriers. Lorsque la guerre éclate, il est mobilisé comme sergent. Suite à une violente altercation avec le lieutenant de son groupe, il est dégradé et envoyé dans une enclave disciplinaire au cœur de la jungle. Le capitaine Waco Grimes, chef de ce bataillon, est un homosexuel lâche et brutal. Peu à peu, face à l'horreur des combats, le caractère de Gifford va changer...
« L'horreur des scènes de corps-à-corps de l'antimilitariste Between Heaven and Hell a rarement été atteinte, tout comme la virtuosité technique, dont faisait preuve le fameux travelling, qui suivait pendant plusieurs centaines de mètres la course éperdue de Robert Wagner, dévalant la colline au sommet de laquelle, pour la première fois de sa vie, il venait de tuer plusieurs soldats japonais »

L'histoire n'est pas tant dans le fait que l'horreur soit la guerre ou les combats, mais plutôt l'horreur se révèle dans le comportement des individus qui sont commander ou diriger par une espèce d'abrutis de capitaine wako, totalement inapte .avec ses hommes ... ehhhhhhhhhhhhhhhhh oui ça existe ......des couilles de loups.........on en croisse plus souvent dans la vie que nos chers bars.......................................malheureusement pour nous

ET VOUS VOUS REGARDEZ QUOI
Pas beaucoup de PEKEUX ne regardent la TV le soir après la PEK
ne dit-on pas "C'est dans l'adversité qu'on reconnait les qualités d'un Homme.................................... "
A+++++

Visiblement je suis le seul à avoir plus le cul dans le canapé à me taper des petits chefs d'oeuvres du 7ème ART pendant que vous ehhhhhhhhhhhhhhh bin petit chanceux VOUS vous passez plus temps le cul dans le kayak tant mieux pour vous tant pis pour moi c'est le jeux ma pauvre lucete moi je reste au manette et je suis celui qui ferme la salle du cinéma............ donc le dernier

ce soir sur TCM 22HH25 un film de roger CORMAN avec l'acteur culte du fantastique (-pour infos -le prete voix français de VINCENT PRICE n'est plus ni moins le même prete voix que DARK VADOR épisode 4, 5,6 (je suis franchement étonné que georges lucas n'est pas pensé à lui pour incarner DARTH VADER-heureusement pour nous qu'il fit appel à SIR CHRISTOPHER LEE pour incarner le conte DOOKU pour sa nouvelle trilogie la boucle est bouclée


il y a d'autres signes dans ce film ce film est à la base une nouvelle D'ALLAN EDGAR POE comme la plupart des films cultes de ROGER CORMAN : rien que se seul nom inspire le respect à HOLLYWOOD
DIXIT WHIKIPEDIA
Le Masque de la Mort Rouge (en anglais: The Masque of the Red Death) est une nouvelle d'Edgar Allan Poe publiée pour la première fois en mai 1842 dans le Graham's Lady's and Gentleman's Magazine sous le titre The Mask of the Red Death, avec le sous-titre A Fantasy. Une version révisée est parue le 19 juillet 1845 dans le Broadway Journal sous son titre définitif. Traduite en français par Charles Baudelaire, elle fait partie du recueil Nouvelles histoires extraordinaires. La nouvelle se situe dans la tradition du roman gothique et a souvent été analysée comme une allégorie sur l'inéluctabilité de la mort, bien que d'autres interprétations aient été faites.

Ce poste ici me plait bien, car comme tout le monde s'en fout de ce qui se passe à la TV, au moins ici je suis sur que cela ressemblera plus au monologue du vagin, car poster sans avoir un ptit commentaire vaut vraiment être motivé ou simplement avoir envie de parler
MERCI à vous et bonne soirée

Allez, pour rompre ton monologue, ce serait pas plutôt Edgar Allan Poe ? (tu vois, tu es lu, même si le bon film du soir suscite moins d'enthousiasme chez moi qu'un moulinet qui couine ZZZZZZZZZZZZZZZZZZ

whaouuuuuuuu, c'est gentil JAJA29 , de me signaler cet erreur, alors que bien sur ces nouvelles je me les ai bouffé depuis bien longtemps.
cela prouve une chose, c'est qu'il y a bien un fusible qui à pété la haut chez moi, car cela arrive depuis quelques temps même quand je parle....................le problème c'est que ce genre de fusible ne se répare pas aussi vite qu'un fusible de voiture.
MERCI à toi

ce soir j'hésite entre 2 films : l'un sur POLAR, "SAILOR ET LULA " film culte de DAVID LINCH 1990, ou NICOLAS CAGE mélange et symbolise en 1 seul rôle les 3 icônes REBEL des states en portant une veste de serpent , bref le vrai film culte de cinéphile, ou les signes et références ne manquent pas MERCI DAVID LINCH

l'autre sur TCM "OPERATION DRAGON"
(une des nombreuses photos qui tapissaient ma chambre d'ados)
que je ne présente pas : mais qui reste encore aujourd'hui le plus grand film d'action pure du 7ème art, sans parlé d'art martiaux. ou l'on croisse JIM KELLY, icône du black power 70's , et le méchant joué par le chanpion de karaté BOB WALL (qui fut aussi le garde du corps et ami d'un autre ROI, euhhhhhhhhhhhh mon pote.....vous savez .......)

Pour infos BRUCE LEE, est la première plus grande star du tiers monde et reste l'homme le plus copié au monde au même titre que les produits de luxes sont copiés dans le monde : dommage que sa femme LINDA, ne soit pas devenu une grande "business woman"comme l'a été et est PRISCILLA BEAULIEU
GOODNIGHT

sur TCM, le film culte de 1969.
Easy Rider
marque la naissance du Nouvel Hollywood, qui apparaît à la fin des années 1960. Il y a bien sûr des prémices avec des films tels que Bonnie and Clyde ou Le Lauréat. Mais c'est avec Easy Rider que le Nouvel Hollywood prend son envol et rompt avec le système de production classique et bien rodé (et en perte de vitesse à ce moment).

Ce mouvement cinématographique est fortement inspiré du néoréalisme italien et de la Nouvelle Vague française : c'est le mouvement de la contre-culture américaine. Les jeunes réalisateurs américains vont s'emparer du principe de liberté que met en avant la Nouvelle Vague. Il s'agit de la prise de pouvoir des réalisateurs qui font alors leur film et non ceux des studios. Ce qui aboutit à une construction de films (que ce soit au niveau narratif ou esthétique...) atypique pour le cinéma classique américain.

Ainsi le cinéma du Nouvel Hollywood devient le cinéma des réalisateurs et non celui des producteurs, un cinéma qui renoue avec le 7e Art et rompt avec le système de production de divertissements


pour infos et ce que ne dis pas WHIKIPEDIA, mais juste entre cinèphile,DENIS HOPPER monta le film à bout de bras avec son pôte peter fonda. avant la sortie peter fonda montra le film à son père le très conservateur qui symbolisait l'amérique blanche "HENRY FONDA", qui après le visionnage du film dit à son fils crosso modo " mais c'est quoi cette merde mais s'est même pas un film, c'est tout juste un film entre pote qui se filme en sillonnant l'amérique et en plus vous ne parlez presque pas, et on ne comprends rien dans vos dialogue qui n'ont aucun sens. le pauvre PERE , son fils allait devenir l'icône du mouvement hippie à cette époque là et qui le reste de nos jours et sa propre fille "jane fonda" pendant ce temps militait contre la guerre au viétnam et devient l'icône du féminisme pour toujours. tout les 2 ont eu maille à parti avec les autorités, mais quand on est rebel, on vit sa vie à 100 à l'heure ou à 100 pure sang
ça chauffait pas mal entre le père et ses 2 enfants.
a+++++++++++++++++++

un programme sympa ce soir

http://www.programme-tv.net/programme/c ... 27-alaska/