Restons dans notre domaine !
Parfois, il m'arrive de conclure par "bonne pêche, l'indien !" ; cela a une origine que je livre à votre sagacité.
Voilà l'histoire :
"un canadien s'est acheté une barque pour aller à la pêche sur un lac canadien mais il ne prend rien !
Pas loin, un indien en costume traditionnel et canoë en peau, sort fish sur fish à en remplir son embarcation.
Excédé et curieux, notre canadien se décide à l'accoster et le questionner sur ses pêches miraculeuses.
L'indien lui répond qu'avant d'aller à la pêche, il met le doigt dans un endroit intime de sa maîtresse et qu'après, il suffit de plonger le doigt dans l'eau et les poissons arrivent par bancs et bons à sortir de l'eau.
Aussitôt dit, aussitôt fait, le lendemain, tôt le matin avant de partir à la pêche, il met le doigt au-dit endroit de sa femme qui est encore dans un demi-sommeil.
Et celle-ci de dire : "Bonne pêche, l'indien !".

excelent

Voici ma dernière anecdote, on dirait une histoire improbable. A savoir que la veile j'ai perdu ma ceinture de plomb dans des conditions similaires:

Il était une fois dans le pays de fort fort lointain, trois petites vaches ...... euhhh non c'est pas ça!

Il était une fois, (31/07/07), un retour des pontons nord d'arromanches un peu agité.

Nous partîmes à deux kayak des pontons nord. Le pneumatique (diveyak) creusait l'écart avec le kayak rigide (tempo de RTM).
Strange, stranger in the night...... op op op on est en plein jour est c'est pas si étrange que ça.

Je transportai sans le savoir des passagés clandestins. Que faire?
Affraiter un charter pour un retour dans leur pays d'origine ??

Je décide de me séparrer de ce sur-plus de poid. Mon arbalette était complice de ce transport frauduleux. Elle avait agripé au moins 10 kg de sargasses.

Je décide de décrocher tous ces clandestins. Le ton monte entre le capitaine du frêle esciffe et de son équipage (matériel au combien fidèle). J'enlève une poignée, mais je sent que la mutinerie n'est pas loin.
A genou sur la méduse, j'enlève touffe après touffe les sargasses. Le "marsouin du 2" (nom du kayak) stabilise la situation.

La sargasse est fourbe. Elle a dù déposer un liquide glissant sur le kayak pour que le valeureux capitaine tombe à l'eau.

Un homme à la mer !!!

L'embarcation est en périle.!

Grace à la ligne de vie le commandant de bord remet le navire à flot. Toutes les sécuritées et lignes de vie ont remplient leur rôle à la perfection.

Mais il n'y a pas de ligne de vie sur un drapeau . Poséidon pris ce drapeau de signalisation pour démontrer sa toute puissance. Un jour bien fesant, un jour maléfique ...

Le capitaine de l'esciffe rendit hommage à ce drapeau qui lui sauva la vie de nombreuse fois. Trois série de sept Ro furent tiré en son honneur.

Voilà comment la perte d'un membre de l'équipage, un élément de sécurité, un drapeau, une croix de st Andrée peut arriver.

Voici une photo des embarcations au départ :


je suis au fond avec mon tempo.


à bientot pour de nouvelles aventures

Nota: j'ai un chouilla romancé la chose

C'est vraiment un beau récit et un joli post !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!