c'est ce qui s'appelle un licenciement pour faute grave sans indemnité
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| Auteur: | epervier [ Sam Mar 19, 2016 7:09 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
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| Auteur: | sergios29 [ Sam Mar 19, 2016 7:27 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
c'est ce qui s'appelle un licenciement pour faute grave sans indemnité
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| Auteur: | jaja29 [ Lun Juin 20, 2016 7:08 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Allez, je me lance, j'suis pas encore venu ici au rayon blagues. Soyez indulgents  DEVINETTE : Pourquoi était-il logique que, finalement, notre Paulo s'intéresse à l'Alboran ? Essayez-vous mêmes, et vous verrez qu'avec les autres kayaks ça ne pouvait pas fonctionner : Slayer, fixe Prowler, fixe Profish, fixe Cuda, fixe Kraken, fixe Profisha, fixe Tempo, fixe Disco, fixe Révo, fixe K'pech, fixe.... alors qu'avec l'ALBORAN, tout est possible : Fichier(s) joint(s): rangs.JPG [ 92.98 Kio | Vu 6780 fois ] Fichier(s) joint(s): alboran.JPG [ 69.75 Kio | Vu 6878 fois ] Nota : je sens que je vais être interdit de Rade de Brest pendant un moment.  
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| Auteur: | loulou14 [ Dim Nov 13, 2016 9:29 am ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Devinette: Pourquoi le dictionnaire s'appelle Le Larousse? |
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| Auteur: | polmar56 [ Dim Nov 13, 2016 10:10 am ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Parce que c'est un trans-métreur? 
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| Auteur: | loulou14 [ Dim Nov 13, 2016 1:37 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Ben non si on l'appelait Lablonde il serait 3 fois moins épais ou gros comme on veut!
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| Auteur: | epervier [ Dim Nov 13, 2016 7:05 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Par ce qu il sent fort??? |
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| Auteur: | jipi58 [ Dim Nov 13, 2016 8:32 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Pas de différence entre les tulipes et les emmerdes.. Viennent tout les deux de Hollande 
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| Auteur: | PatRebelDixie22 [ Ven Déc 23, 2016 8:44 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
un petit retour à la case départ....... Fichier(s) joint(s): 15541919_1199620080103616_696537714129523310_n.jpg [ 43.78 Kio | Vu 6479 fois ] bonsoir |
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| Auteur: | epervier [ Lun Avr 16, 2018 9:02 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
C'est étrange, depuis 6000 ans l'homme ne traine plus sa femme par les cheveux. A l'époque d'avant ça ils les tractaient par les talons, mais ..;la terre rentrait dedans. Aujourd'hui c'est encore le boxon. Alors que les femmes voient l'amour avec un grand A, les hommes continuent à le voir avec un gros Q. Non? ok je 
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| Auteur: | epervier [ Lun Avr 16, 2018 9:05 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
philosophes du soir bonsoir
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| Auteur: | montagnol [ Ven Mai 18, 2018 12:11 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Je ne résiste pas à vous proposer un texte hilarant du regretté P.Desproges intitulé : « Ondine » ( attention : à lire à tête reposée  )" La scène représente la scène. Côté cour, un jardin. Côté jardin, la mer. Au centre, l’humble maison d’Ondine au dos des dunes, où la mère d’Ondine dresse la table. Par la fenêtre entr’ouverte, Ondine regarde la mer. (Pas la mère, la mer). Elle est amère. (Pas la mer, Ondine). Son œil scrute l’horizon où sa mère doit … (pardon), son œil scrute l’horizon où son père doit pêcher le congre ou le bar. Le congre que le bar abhorre ou le bar que le congre hait. Car Ondine a la dalle et la mère a les crocs. Selon qu’il aura pris la barque à congres ou la barque à bars, le père devra remplir la barque à congres à ras bord de congres ou la barque à bars à ras bord de bars. Or, il a pris la barque à bars. Au premier plan, rappelez-vous, le spectateur voit, au flanc de la montagne rouge feu, moutonner un maquis vert. Il y serpente des chemins rares qui débouchent soudain sur des criques sauvages où nul imbécile cintré dans sa bouée Snoopy ne vient jamais ternir, de son ombre grasse et populacière, l’irréelle clarté des fonds marins mordorés où s’insinue le congre que, donc, le bar abhorre. Ben oui : le bar abhorre le congre par atavisme. Le congre est barivore. Et donc le bar l’abhorre. Si vous voulez, le bar est fermé aux congres du fait même que le palais des congres est ouvert au bar. Le court extrait d’Ondine que je vais avoir l’honneur de vous interpréter maintenant se situe au moment précis où Ondon, le frère d’Ondine, part pour la Crète. La nuit tombe. La mère d’Ondine et d’Ondon appelle sa fille. La mère – Ondine ! Ondine – Oui la mère ? La mère – T’as vu l’heure ? Ondine – Et alors, la mère ? La mère – Et alors on dîne ! " |
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| Auteur: | epervier [ Ven Mai 18, 2018 4:03 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
Ah ça, c'était du texte ! Dans le genre, j'aimais assez bien Devos. Pour mèler les deux, dans la rhétorique ou le consensuel, tous deux en un seul mot, chacun il va de soit, je me propose de vous faire lire ma réflexion poussée sur le Vous. Cette "personne" unique mais utilisée en doublons avec le groupe, possède une vie créancée par le dictât des règles de bienséances. En voici le résumé. Les « Vous ». Vous avez remarqué ? Dans la vie, il y a des choses qui disparaissent...sans laisser de traces. Lorsqu’on rencontre une personne, la première chose à faire, c’est d’employer le vouvoiement. On ne se connaît pas. La coutume, les règles établies de la bonne éducation, les arcanes de la bienséance, dictent et imposent presque l’emploi du vous. C’est sociétal. La procédure d’une rencontre amicale s’articule donc « autour » de ce vous. L’autour étant aussi cousin de l’épervier, mais ceci est une autre histoire. Vous, est donc l’obligation de base pour créer une certaine distance, un respect mutuel, une barrière infranchissable aux allusions et autres non dits. Vous. Vous c’est…. d’un côté vous et ….pas loin … y a moi. Si l’on prend la vision extérieure, donc de votre pensée à la mienne, cela fait qu’il y a vous, toi et moi. Puisque vous vous trouvez devant moi. (Dans la précédente phrase le Moi …c’est vous. Suivez un peu tssssss…..) Intrigante approche du nombre de personnes dans la relation de rencontre qui se forme. Le vous, est donc la « troisième » personne puisqu’il y vous, toi et moi, qui conversons ! On dira que le vous est l’arbitre, en quelque sorte, celui qui régule les paroles, dicte son implacable austérité. La bienséance à l’état pur. Ou ..allez Tapur ! (ca dépend de la taille des biceps du Tapur en question). Vous, est donc la démonstration que le « Tu » naît de la mort du vous. Bah oui, une fois né le Tu , le Vous disparaît à jamais de la relation. Ad patrès. On a donc perdu « quelqu’un » dans la bagarre… pour en trouver deux autres ! Bah oui, si les deux personnes se tutoies. Ca fait qu’ils se disent tu, se répondent tu. Donc tu, tu, toi et moi ! Nous voilà à 4 maintenant ! Vous. Une histoire compliquée ce vous. Placé en première personne du pluriel… il est en fait le troisième personnage, qui disparaît, un beau jour. Rarement une nuit faut remarquer. Le tu est généralement né bien avant qu’on ne se tutoies… encore que je ne souhaite le décès de personne! Donc, de pluriel il passe à …plus rien ! Le « L » final saute le m et chope une N ! D’où : la disparition du vous est un deuil pénible. On en souffre probablement ?! Donc on a dit qu’il s’annulait ! Pourtant… deux « tu » formeraient-ils un vous ? Alors pourquoi n’apparaît-il pas APRES la rencontre ? Alors qu’on découvre que le tu, qui est face a soi, est en fait une composition de… plein de personnages ? Le tu, puisque connu, deviendrait alors un Vous, de plein droit, puisqu’on y reconnaît plusieurs personnes ! Dire que le tu tue le vous est donc idiot, vu que la connaissance, donc le tu, amène du Vous à l’appel. Non ; pas à la pioche, on creuse seulement la question, du deuil. Oui, c’est compliqué. C’est compliqué de vouvoyer une personne. Par ce qu’on ne sait jamais à laquelle s’adresser lorsqu’elle est face à nous. Nous ? En voilà un autre ? Nous, tout ceux qui composent notre équilibre. Plus les Vôtres, donc. Nous. En voilà d’une notion étrange. Surtout pour parler de vous, au départ. Du coup il y a vous, toi, moi, deux tu et maintenant « nous » arrive sur la conversation ? Je me pose juste une question, on est parti d’un Vous, donc d’une personne, et nous voilà arrivé à causer à six! Pas étonnant alors que les couples ne savent plus discuter de couple ; ils sont déjà 6 à partager la même salle de bains !!! MORALITE : les maths, c’est que du pipo. MORALITE 2 : pourvu que sur les 6… il y ait un plombier.
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| Auteur: | montagnol [ Ven Mai 18, 2018 6:29 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
epervier a écrit: Je me pose juste une question, on est parti d’un Vous, donc d’une personne, et nous voilà arrivé à causer à six! Pas étonnant alors que les couples ne savent plus discuter de couple ; ils sont déjà 6 à partager la même salle de bains Certes, mais tu ne m’oteras pas de l’idée que pour partager une salle de bain, il faut au minimum être à tu-et-à-toi, même en étant 6. 
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| Auteur: | epervier [ Ven Mai 18, 2018 8:18 pm ] |
| Sujet du message: | Re: blagues entre pekeux |
heu..... pas tout pigé. Explication?
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