La brasse « papillon », Qui l’a inventée ?

________ De ces deux oiseaux, l’aigle et le canard, l’un est un redoutable prédateur et l’autre une proie facile et sans défense, ici en grande détresse [malheureusement pr lui (le canard) ou elle (la proie) ] ; mais en ayant tous les deux les pattes bloquées – dans un milieu aquatique et pour des raisons très différentes – ils ont tous les deux le même réflexe de pratiquer une sorte de nage qui s’apparente grandement à la brasse papillon (devenue discipline olympique chez l’Homme) pour progresser dans l’eau. Ce comportement est inscrit, gravé ds leur ADN, leur code génétique…et ça fonctionne plutôt bien pour ds animaux confrontés au stress que représente le fait d’être hors de leur élément, non ?!

1’42, vid1 https://www.youtube.com/watch?v=5lkyPfGYBf8 1’00, vid2 https://www.youtube.com/watch?v=yQ0X7G7D85s

Aigle vs héron Bald eagle takes a heron (Pender Island, 2016) un Pygargue capture un héron et le noie avant de le ramener au bord en nage papillon vidéo 1
Chélydre serpentine (grosse tortue d’eau douce carnivore de l’Est américain) vs canard . How giant snapping turtles hunt traduction : Comment chassent les (tortues) chélydres serpentines géantes - une chélydre serpentine chasse, coule et noie un canard. 1’00, vidéo 2

Ce type de nage très particulière est commune chez les rapaces chasseurs de poissons lorsqu'ils ont eu "les yeux un peu plus gros que le bec ou le ventre" et se sont enclavé les serres ds un fish qu'ils ne peuvent pas décoller de l'eau : ils "rament" alors ainsi jusqu'au bord pour conclure, si possible, et en même temps pouvoir dégager leurs serres.

Les phoques ds le désert du livre de l’Exode & l’authenticité du récit de Moïse soumise à la logique du raisonnement mathématique. Post 1/3

________ C’est Moïse qui, en 1513 avant notre ère et sous inspiration, a fini de consigner – dans l’ordre – les 10 grandes étapes des « jours » de création qui sont décrits dans le livre de la Genèse.
________ Les scientifiques humains, qui font pourtant abstraction totale de toute idée selon laquelle il pourrait y avoir un Dieu créateur qui serait à l’origine de la matière et de toute la vie qui grouille sur Terre, sont pourtant bien d’accord avec la chronologie de l’apparition des « choses » physiques minérales, animales et végétales telles qu’elles sont énumérées ds le premier livre de la Bible.
________ Selon un calcul élémentaire de probabilités, s’il avait parlé, ou plutôt écrit, de sn propre chef, Moïse n’aurait eu qu’une chance sur … 10x9x8x7x6x5x4x3x2x1 = 3 628 800 de ne pas se tromper ! Vous avez bien lu : une chance sur Trois Millions Six Cent vingt Huit Mille Huit Cent de tomber « juste » par hasard et du premier coup, pour classer ds l’ordre sans se tromper ces 10 événements marquants qui ont eu lieu des milliers, voire des dizaines de milliers – des centaines de milliers d’années même pour certains d’entre eux – avant sa naissance et dont aucun témoin oculaire humain n’a jamais eu matériellement la possibilité de faire le moindre rapport pour le transmettre aux générations à venir.

Ces événements sont, dans l’ordre de leur apparition :
1. Il y a eu un commencement
2. Une terre qui, à l’état primitif, était ds l’obscurité, enveloppée de gaz lourds et d’eau
3. Apparition de la lumière
4. Une étendue ou atmosphère
5. D'immenses étendues de terre ferme
6. Les plantes terrestres
7. Le Soleil, la Lune et les Etoiles qui deviennent visibles ds l’étendue, apparition des saisons
8. Les grands monstres marins et les créatures volantes des cieux
9. Les bêtes sauvages et domestiques, les mammifères
10. En tout dernier lieu : apparition de l’Homme.

_______ Or il se trouve que selon le monde de la science des hommes – milieu ou, traditionnellement, l’athéisme est roi – la chronologie, c'est-à-dire l’ordre ds lequel les choses sont apparues, est absolument la même, preuves matérielles et bien tangibles à l’appui.
________ Cela veut donc dire que – mathématiquement parlant – les détracteurs qui mettent en doute la véracité du récit biblique contenu ds la Genèse quant à nos origines et le moyen par lequel l’Homme est apparu sur la Terre ont toutes les chances (3 628 799 sur 3 628 800 !) de se fourvoyer sur toute la ligne…avec les graves conséquences que cela implique à terme pour eux dans les relations que nous nous devons tous d’entretenir avec notre Créateur.
________ ...et à 3 628 800 contre un, il devient très vite évident que c’est bien sous inspiration divine* que Moïse a rédigé la partie des cinq premiers livres de la Bible qu’on appelle le « Pentateuque », à savoir : La Genèse, le livre de l’Exode, le Lévitique, le livre des Nombres et le Deutéronome. Lieux de rédaction : le désert du Sinaï et les plaines de Moab.

* Dieu (YHWH), son Fils et les créatures spirituelles qui les entourent et les secondent étant les seuls témoins oculaires (et les seuls intervenants !) aux époques lointaines où les faits se sont passés .

... les phoques "arrivent", en suivant ...
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Les phoques ds le désert du livre de l’Exode & l’authenticité du récit de Moïse soumise à la logique du raisonnement mathématique. Post 2/3

________ Oui, Quel rapport...y a-t-il donc entre Moïse, les mathématiques, la foi en la fiabilité des écrits bibliques… et les peaux de phoques qu’il devait collecter auprès du peuple en plein désert du Sinaï pr construire le Tabernacle ?!!
________ Rappel : S’il avait du rédiger de sa propre initiative le livre de la Genèse, premier livre des 66 que compte la Bible, Moïse n’aurait donc eu qu’une chance sur… 3 628 800 de classer ds l’ordre et par le plus grand des hasards les dix étapes marquantes qui ont permis à l’espèce humaine de voir le jour ds un environnement grouillant de vie animale, au sein d’une végétation luxuriante, généreuse… tout cela en partant du néant le plus absolu.
________ Comme nous l’avons vu précédemment, nous avons donc de bonnes raisons de faire confiance à tous les événements que Moïse a relatés dans le Pentateuque.
________ En Exode 26 :14 (Exode chapitre 26 et le verset 16) ainsi que dans plusieurs autres endroits du livre des Nombre et de l’Exode, lorsque Dieu lui a édicté le « cahier des charges » à respecter impérativement lors de la construction du Tabernacle ou Tente de réunion « multicouches » qui devait abriter l’Arche de l’Alliance lors de ses déplacements, il y en avait une tout particulièrement – la plus extérieure, donc la plus exposée aux intempéries – qui devait être… en peaux de phoques (!) alors que Moïse se trouvait en plein désert, au pied du Mont Sinaï et était déjà en charge d’un peuple rétif de plus de 3 millions d’âmes.
________ Etait-ce donc une « vue de l’esprit » ? Une requête déraisonnable de la part du tout puissant comme l’ont longtemps soutenu les pontes des clergés de la chrétienté et du judaïsme à la présomption légendaire ? Eux dont les traducteurs des textes sacrés ont remplacé « pudiquement » « peaux de phoques » par « peaux de dauphins » pour que cela cadre mieux avec leur propre conception de la logique ; histoire de hurler un peu plus avec les loups comme ils ont toujours su le faire au fil du temps et complaire ainsi au monde pseudo-scientifique si éloigné de Dieu.
________ Mais en fait il n’en est rien : pour fournir TOUS les matériaux nécessaires à la construction à la fois de l’Arche d’Alliance et du Tabernacle, la tente destinée à le protéger, autant des intempéries que des regards des impurs (sous peine de mort immédiate par intervention céleste), tout en se conformant aux prescriptions détaillées et très précises fournies par leur Grand Libérateur, pour ce qui est du culte exclusif qu’ils devaient simplement lui rendre en retour en tant que peuple élu, promis à un destin grandiose si seulement ils avaient respecté les alliances conclues avec Dieu. Pour rassembler ces matériaux de choix, donc, ils n’avaient qu’à puiser dans leurs réserves : l’énorme butin de guerre emporté avec eux lors de leur fuite du pays d’Egypte !
________ En effet YHWH, le dieu qui fait immanquablement réussir tout ce qu’il entreprend – comme son Nom l’indique sans équivoque : « il fait devenir » - avait mis un tel niveau de pression sur la nuque de leurs anciens tortionnaires esclavagistes (Pharaon et son peuple) en déversant sur eux les dix plaies ou fléaux devenus célèbres, qu’ils les ont très volontiers laissé partir en bloc* en les dotant de nombreux présents : provisions de bouche et objets de valeur de toutes sortes… dont, précisément des peaux de phoques, très prisées à l’époque pour leur résistance mécanique et leur imperméabilité à toute épreuve et donc bonne monnaie d’échange en cas de troc au cours de leurs pérégrinations à venir.
________ Ceci pour être bien sûrs qu’ils allaient s’en aller le plus loin possible du pays d’Egypte, en espérant bien ne plus jamais les revoir !!!

___ …en bloc * : Notez au passage que le retournement subit de l’attitude des égyptiens à leur égard donne clairement la mesure de la frayeur qui leur a été infligée par le dieu de leurs esclaves ; laisser partir d’un coup une main-d’œuvre souvent qualifiée et entièrement gratuite composée de plus de 3 millions d’individus, aurait été, de la part de égyptiens et surtout de leur monarque faire preuve d’un altruisme spontané qui n’a jamais existé autrement au sein de la communauté ou caste des dirigeants d’aucun pays au cours de l’histoire de l’humanité.
________ uant aux phoques, il y en avait en quantité à l’époque sur tout le pourtour du bassin méditerranéen et plus particulièrement autour des embouchures des grands fleuves comme le delta du Nil ; Il existe toujours en notre XXIème siècle, quelques colonies de phoques moines disséminées ça et là comme aux Cyclades en Grèce et en Mauritanie, sur la côte Ouest de l’Afrique en passant par le détroit de Gibraltar… il en reste moins de 500 au total . Disparition prévisible à plus ou moins court terme, même s’ils sont fortement protégés, à cause de la dégénérescence de l’espèce due à l’inéluctable consanguinité.
________ Chez nous, en Corse, il y en avait encore au milieu du siècle dernier (le dernier a été vu en 1970). Quant aux gris, vous en avez bien en Bretagne et en Normandie, dans la Manche jusqu’en Baie de Somme.

PS : Remarquez également que si – et cela sans surprise aucune – les scribes de l’Egypte antique ont totalement zappé de leurs annales ces épisodes fort peu glorieux pour l’histoire de leur pays, tant pour eux-mêmes que pour leur Pharaon qu’ils vénéraient comme un dieu, ainsi que pour ses forces militaires englouties d’un coup en même temps que lui dans la mer Rouge, nous avons la preuve vivante tous les ans sous les yeux - où que nous nous trouvions sur la Planète – de l’authenticité du récit biblique : la célébration de la Pâque Juive par tous les juifs descendants de la diaspora, issus de tous les milieux, cérémonie instaurée par Dieu en personne et qui commémore le marquage ** de ceux qui devaient être épargnés par l’ange de YHWH lorsque s’abattrait sur le pharaon récalcitrant (et manifestement dur de la « comprenette ») et ses sujets la plaie ultime, la dixième, la destruction de tous les premiers nés des familles d’Egypte, y compris le propre fils de Pharaon. C’est elle qui va être le facteur déclenchant du rejet massif de tous les esclaves juifs qui est à l’origine de l’Exode que l’on connait, voulu et programmé par Dieu afin qu’il puisse leur donner un pays et y constituer sa Nation Sainte, un peuple qui porte son Nom propre, constituée de Rois et de Prêtres … si seulement ils lui étaient restés fidèles !

…** Pâque juive : commémoration du marquage qui préfigure par l’aspersion du sang des agneaux sacrifiés initialement en Egypte sur les montants des portes des esclaves et afin qu’ils soient épargnés lorsque s’abattrait le fléau, le sacrifice propitiatoire du christ, l’agneau de Dieu, lui qui a offert son sang humain parfait pour le rachat de l’humanité avec pour conséquence directe – plus particulièrement pour ses fidèles disciples – l’effacement pur et simple des conséquences désastreuses du péché d’Adam, à savoir la mort.

________ Dieu (YHWH) est d’une logique et d’une constance dans le temps bien difficiles à concevoir pour des humains comme nous ; du début à la fin il reste fidèle à lui-même et tient intégralement toutes ses promesses. Celui qui se définit en Révélation (ou Apocalypse, le dernier livre de la Bible) comme étant l’Alpha et l’Oméga, n’a pas varié d’un iota depuis l’annonce de son plan, de ses intentions vis-à-vis de l’Homme en Eden, clairement défini dès les premières lignes du livre de la Genèse… comment ne pas lui faire confiance ?

Pensées profondes d’un esprit cartésien célèbre : Albert Einstein rend hommage à Jésus.

________ Albert Einstein, physicien juif allemand d’exception et par la force des choses mathématicien émérite, a affirmé : « Bien que juif, je suis subjugué par la figure lumineuse qu’est le Nazaréen ». Quand on lui a demandé s’il croyait en l’historicité de Jésus, il a dit « Incontestablement ! Personne ne peut lire les évangiles sans ressentir la présence réelle de Jésus. Sa personnalité vibre à chaque mot. Aucun mythe n’est imprégné d’une telle vie ».
________ Voilà un scientifique comme on les aime ; avec une tête qui fonctionne aussi bien, ça vs étonne qu’il ait été aussi loin dans ses découvertes ??

Ce grand génie n’avait pas seulement une tête bien pleine, elle était aussi fort bien faite : n’est-ce pas là une remarque pleine de bon sens ?


Phoque moine en Grèce
3'22 https://www.youtube.com/watch?v=YXQibcGtjPM http://youtu.be/wTzZOzdmDwQ

La Corse, Bonifacio, la grotte des phoques, juin 2016 Si on n'évoque même pas les phoques ds cette 2ème vidéo (qui ne passe qu'en lien seul ), on reconnait au moins le type de biotope qu'ils affectionnent pr leurs derniers bastions ; très ressemblant à celui de Grèce.

Phoque moine de Corse : le dernier a été vu "chez nous" en 1970 Lien seul http://www.manon.org/polmar/phoquemoine.htm

Les phoques ds le désert du livre de l’Exode & l’authenticité du récit de Moïse soumise à la logique du raisonnement mathématique. Post 3/3

________ A propos d’autres preuves indirectes de la véracité, de l'authenticité, en clair du crédit que l'on peut accorder aux récits bibliques, saviez-vous qu’une ds fêtes majeures du monde musulman – l’Aïd-El-Kébir, la Grande Fête ou fête du Sacrifice, la fête du mouton – n’est ni plus ni moins que la commémoration du jour où Abraham, l’ami de Dieu, s’apprêtant à offrir son propre fils Isaac en sacrifice pr obéir à la requête formulée par Dieu lui-même s’est vu providentiellement retenir le bras in extremis, au moment de passer à l'acte, par le messager divin ; un bélier dont les cornes s’étaient empêtrées ds un buisson voisin lui a alors été fourni en remplacement acceptable pr être sacrifié à la place du jeune homme.(…) à ceci près que la tradition musulmane a carrément inversé les rôles et placé Ismaël/Ismail, l’enfant qu’Abraham (Ibrahim) avait d’abord eu avec sa servante Agar, l'égyptienne – son épouse Sarah étant alors encore stérile – en lieu et place d’Isaac ds le beau rôle du sacrifié épargné par Dieu… sans aucun fondement ni preuve prophétique (alors que pour la lignée d’Isaac, elles sont légion d'un bout à l'autre des Saintes Écritures : la Bible ds son ensemble ).
________ Notez que ce sacrifice volontairement interrompu d’Isaac préfigure celui – mené à son terme celui-là – du Christ, le fils unique engendré de Dieu, YHWH ; le Souverain de l’Univers voulait ainsi faire comprendre à Abraham, son « ami », en l’affectant dans ses sentiments paternels au plus profond de sa chair ce qu’il allait lui coûter à lui, le Monarque Universel de permettre la mort sacrificielle de son fils fidèle et bien aimé, parfait de surcroît, Jésus-Christ, pour que l’humanité puisse être rachetée des conséquences du péché adamique, cause de la mort des hommes jusqu’à ce jour…. Et pouvoir reprendre le cours de son dessin originel grandiose exactement là où ce « fâcheux incident de parcours (la défection et la chute d’Adam) » l’avait forcé de l’interrompre.
________ Les millions de pèlerins qui défilent à la Mecque chaque année et tournent en boucle autour de la Kaaba ainsi que les centaines de millions d’autres qui s’accroupissent à terre ou sur un tapis en se tournant vers elle cinq fois par jour pour leurs prières rituelles, n’ont même pas conscience qu’en célébrant l’Aïd-el-kébir année après année ils valident bien malgré eux la Parole de Yahvé… dont le peuple constitué par ses sujets dissidents (ou renégats par rapport aux alliances passées et validées directement entre Dieu et eux et le meurtre odieux qu’ils ont perpétré à l’égard de son propre fils) est devenu depuis des temps immémoriaux leur ennemi juré !
________ Ils ont pourtant bien eu tous les deux le même père, Abraham/Ibrahim, c’est vrai , mais la rivalité entre Isaac fils de Sarah, la femme légitime et officielle d'Abraham, celle à qui Dieu a permis d'enfanter Isaac (alors qu'elle était très âgée et stérile depuis toujours, mais la lignée qui menait au Christ devait passer par lui) et Ismaël/Ismail, fils de Agar, la servante égyptienne, aura eu vraiment la peau dure puisqu’elle est toujours aussi virulente et continue de plus belle encore de nos jours !!!

Les Sacs fécaux : les « couches-culottes » des oisillons

Suivre le Lien du Site ornithomédia, très intéressant : http://www.ornithomedia.com/pratique/de ... 02185.html

________ Délicate attention du Concepteur (… les hasards de l’Evolution ne se préoccupant pas de l’hygiène ni de la survie des espèces, et encore moins des conditions sanitaires en général des oisillons, ces fragiles représentants des générations à venir ), mais en même temps c’est une nécessité vitale particulièrement pr des oiseaux comme les pics, ou des passereaux comme les mésanges qui nichent ds des trous d’arbres plus ou moins profonds, en cul-de-sac : on comprend bien que ss cette géniale disposition, aucune couvée de ces espèces-là ne pourrait survivre, les oisillons pourrissant macérés, embourbés, intoxiqués ds leurs propres fientes putrides.
________ En réalité, quantité d’oiseaux bénéficient de ce dispositif exceptionnel : le rouge-queue des murailles, le troglodyte, le quiscale d’Amérique du Nord (Québec), l’hirondelle des cheminées… la liste est longue… Visionnez ces vidéos, c’est bluffant et plein d’enseignements ; regardez cet ordre, cette logique, cette remarquable organisation innée, gravée, ciselée avec maestria ds leurs ADNs respectifs. Les petits juste nés présentent déjà spontanément leur cloaque* tourné vers le haut en expulsant partiellement leur petit sac fécal perso vers l’adulte qui vient de lui donner la becquée, l’air de dire : « tiens, tant que tu es là, débarrasse-moi de ça STP »

*cloaque : leur « cul », orifice unique qui regroupe les fonctions urinaires, intestinales (fèces) et génitales.
________ Regardez aussi ces hirondeaux presque matures et "bien élevés" : c’est des ados, donc plus besoin de solliciter papa/maman pr la corvée des couches-culottes (c’est trop la honte ), mais comme on tient quand même à garder une « maison » propre, on éjecte le colis (toujours emballé) par-dessus bord !

Vidéos et liens :
1 - adult robin eating fecal sacs of baby robins 0’49
0'49 https://www.youtube.com/watch?v=PKN6iL_XB5c https://www.youtube.com/watch?v=ZXvW7V_cCmY 2'01

2 - Hirondeaux quasi-mature, sacs fécaux jetés par-dessus bord !

Fecal sacs viméo 0’38 hirondeaux justes nés https://vimeo.com/165446441
Hirondelles (chasseur français) extraction sacs fécaux au nid dur Dailymotion http://www.dailymotion.com/video/x21cxf ... u-nid_news 2’26 http://dai.ly/x21cxft
Source : chasseur français http://www.lechasseurfrancais.com/video ... -fecal-321
Troglodyte de Caroline 0’49 bien https://www.youtube.com/watch?v=z84AyxqtMwY

________ Par contre la Huppe, ce bel oiseau qui revient d’Afrique au printemps et qui l’annonce haut et fort ds les prés par son cri particulier « Pou-pou-pouuuh » à tel point que localement, ici ds le Sud-Ouest on l’appelle la « Pupue ».. oui, la Huppe donc est un oiseau très sale qui non seulement farouille ds les bouses des bovins avec son long bec pour en extraire toutes sortes de bestioles et de vers, mais qui en outre ne nettoie jamais son nid, lequel dégage donc une odeur pestilentielle, et ça je peux le confirmer personnellement car j’ai eu l’occasion d’en croiser plusieurs ds ma vie professionnelle. En effet comme elles ne trouvent pas toujours l’arbre creux libre qu’il leur faut pour y faire leur nid (grosse concurrence avec l’étourneau qui patrouille ds le secteur en nombreuses petites colonies) eh bien elles se sont mises à nicher dans les greniers et sous-pentes* en se faisant un trou confortable ds la laine de verre, juste sous les tuiles… une puanteur !! [* les étourneaux en ville dans les grands réverbères, les tourterelles turques directement ds les gouttières (les eaux pluviales circulent en-dessous !) par manque d’arbres.]...

________ ...A tel point que dans la Loi Mosaïque, bien qu’elle ne soit pas un oiseau de proie, ni un animal nécrophage, la Huppe était considérée comme un oiseau impur qu’il était absolument interdit de consommer (Lévitique 11 :13,19 et Deutéronome 14 :12,18). Il est logique de penser que comme c'est Dieu lui-même qui a créé également la Huppe, il s'est simplement servi du comportement de cet animal pour donner une leçon d'hygiène à son peuple élu, au départ... et à nous tous, les humains, en général, au final

Alexandre le Grand, le nœud gordien… et mes « ciseaux-poinçons » défaiseurs de nœuds façon vérin écarteur.

En fait, votre cadeau, ce sera la combine que je vs refile, à vs de la réaliser : c’est facile, pas cher, utile et très efficace.

Le célèbre conquérant, lui, avait tranché de manière drastique ds le vif du sujet en pourfendant un nœud récalcitrant (le nœud gordien) d’un coup du tranchant de son épée … bon ... Je vs propose au contraire, comme vs allez le voir d’œuvrer tt en finesse…

________ Le sujet consacré au thème qui ns est cher – Intelligence Animale (et plus) – vient de dépasser les 7000 vues le S 15/10/2016 (7222 exactement, en intégrant le Balbuzard qui empale un gros flétan sur le fond (210 vues). Merci grandement à tous d’être toujours là, fidèles au poste depuis plus de 11 mois maintenant (moyenne : près de 21 visite par jour, sur 345 jours ).

________ Pr vous « récompenser-remercier » de votre précieuse constance, qui m'encourage et me soutient quelque part, je vais vs faire ce petit cadeau donc, en vs en accordant la primeur car je vais certainement en faire profiter tous les autres pékeux du forum un de ces 4 en postant là où il faut. C’est une combine à moi – un peu hors sujet ici, certes – mais qui, comme vs pourrez le constater vs mêmes s’avère toujours très pratique pr dénouer les sacs de nœuds auquel tout pêcheur moyen est inéluctablement un jour ou l’autre confronté, que ce soit ds la boîte à pêche, ds le coffre de la voiture ou en perruque sur la bobine du moulinet (ou ds les anneaux).
________ Il vous faut d’abord une paire de ciseaux en acier inoxydable, même usés, émoussés, mais ss trop de jeu ds l’axe quand-même. Il les faut surtout longs et effilés, genre ciseaux de coiffeur, en les choisissant d’une taille adaptée au type de nœuds que vs aurez à défaire : ce n’est évidemment pas avec la même paire que vs déferez une grosse cordelette et un fin nylon de 10 ou 12/100 èmes !! ... et pas trop serré quand-même le nylon fin sinon...
________ Rassurez-vous, vs n’allez pas sacrifier une paire de ciseaux pr cela : ils garderont leur fonction première… mais vs seront juste plus utiles encore une fois ainsi « arrangés » ou "améliorés" façon Mézigue dit Caadix .
________ Voici comment s'y prendre : Vous présentez les ciseaux fermés de face au touret à meuler (c'est plus facile si vs avez un côté lapidaire), ds le sens longitudinal donc, et vous arrondissez toutes les arêtes qui sont opposées au tranchant des lames ; cela peut se faire également avec une ponceuse à bandes. Notez qu’un petit coup de polissage en suivant serait le bienvenu. Tant que vs êtes au touret, en profiter pr affiner autant que possible la pointe en tournant sur le côté de la meule, toujours ciseaux fermés…. En refroidissant au fur et à mesure ds un récipient d’eau placé à proximité : attention à ne pas surchauffer, faire rougir et donc détremper l’acier, surtt ds les parties très fines de la pointe, la paire de ciseaux serait fichue, et ça vient très vite !
_______ Votre paire de ciseaux va ressembler au final à une sorte de poinçon rond aplati, de section ovale donc. Il vous suffit de l’insérer doucement – en prenant bien garde de ne pas déchirer ou érafler surtout le fil de nylon ou la tresse au passage – dans la partie du nœud à défaire et une fois « l’agent » (double ) infiltré ds la place, il devient aussitôt opérationnel et surprend ainsi l’ennemi à revers : en écartant les œillets ds ciseaux - le "poinçon" se dédoublant - ils vont agir comme un vérin écarteur (utilisé par les services de secours pr désincarcérer les blessés coincés ds une carcasse de voiture après un accident de la route). On donne ainsi suffisamment de jeu aux fils entrelacés, et en retirant l’outil on peut commencer à défaire… quitte à recommencer l’opération en plusieurs endroits si nécessaire. Voilou, c’est tout, et ça fonctionne .

Interfaces > chasser de l’autre côté du miroir 1/3

Ces oiseaux qui nagent en « volant » sous l’eau

Intelligences animales : Quelques belles images … Mais qu’est ce qui aurait bien pu inciter ces oiseaux à aller chercher leur nourriture ds un autre élément que le leur et celui pr lequel ils sont le mieux équipés. Les ailes, ds l’air, c’est fait pr voler, non ? à moins qu’ils n’aient étés tt simplement programmés pr cela

________ le Cincle plongeur (Cinclus cinclus), ou qui, à l’instar des Guillemots de Troïl et autres fous de Bassan brassent des ailes et pédalent en crawlant de leurs pattes palmées, ce qui leur confère bien sûr une nage des plus performantes.

Vidéo 1 Le cincle plongeur (des racines et des ailes) 2’27

https://www.youtube.com/watch?v=mDnUCp5SdBU https://www.youtube.com/watch?v=B63eVchXE5s

Vidéo 2 Cincle plongeur, L’oiseau de chez nous qui vole littéralement sous la glace !!! 3’58 su-perbe Fossekallen i Storelva 3’58 comme un poisson dans l’eau

+ Cincle plongeur (nageur) 0’41 Dailymotion mais bien http://www.dailymotion.com/video/x18iei ... de_animals

+ Les Guillemots de Troïl (Uria aalgue – common murre) nagent en volant sous l’eau 1’19 Dailymotion mais bien bien http://www.dailymotion.com/video/xmmwuw ... au_animals Ils sont plutôt gauches et lourdauds en l’air avec leur corps trapu et leurs ailes ramassées et courtes... mais tout change ss la surface : leur meilleur vol c’est ss l’eau qu’ils le pratiquent, ils y vivent les ¾ du temps & les micro bulles d’air que leurs plumes libèrent en remontant des profondeurs (jusqu’à 90 m !) les propulsent vers la surface comme de véritables jets (c’est du moins ce que dit le commentaire de la vidéo).

+ Fous de Bassan en plongée : Predator Feasting Frenzy - Nature's Great Events – BBC David Attenborough

https://www.youtube.com/watch?v=DHeZrLnY3Dk

3’24 banc ciblé à 10m…il "sonde" pr fuir, ils le suivent - toujours en apnée - 10m plus bas !

Interfaces > chasser de l’autre côté du miroir 2/3

Poisson archer (Toxotes jaculatrix) : un poisson qui chasse hors de l’eau, à la sarbacane, avec pr « fléchettes » de simples gouttelettes d’eau...

...(munitions inépuisables donc) ds la jungle aquatique qu’est la mangrove. Lui aussi son territoire de chasse est situé dans un élément différent de celui pr lequel il est "apparemment" conçu.

1. Il vise et tire à la verticale pr palier aux pbs de réfraction de la lumière (réfringence)
2. Il peut sauter à la verticale également en se propulsant à l’aide de sa queue avec un minimum d’élan pr aller déloger une proie récalcitrante (qui s’agrippe malgré son jet précis) sur une branche basse au-dessus de l’eau.
3. Ses yeux sont orientés vers le haut & sont indépendants pr ne pas quitter son objectif (sa proie) des yeux.
4. Son dos et sa tête qui le prolonge sont plats pr qu’il puisse coller au plus près sous la surface, aussi près que possible de sa proie ss être repéré.
5. Ses yeux sont conçus de manière à avoir deux types de vision différents : l’une pr voir les couleurs vers le bas, en eaux plus ou moins troubles, et une vers la surface et hors de l’eau où il voit les couleurs exactement comme nous.

________ Ma question du jour est : au vu du concept général, du tout indissociable qu’est ce remarquable poisson « archer » ou plutôt « tireur-à-la-sarbacane », à quel moment de la vie de l’espèce est-il passé par la tête d’un fish plus futé que les autres de dégommer les petites bêtes volantes qui se baladaient au-dessus de la surface pr les faire tomber à l’eau et pouvoir ainsi les gober à l'aise ? ….Et une fois la combine trouvée, tous les autres auraient suivi "ds la foulée" ? Mais alors, comment, à partir de ce jour mémorable (pr l’espèce) se seraient–ils tous dotés, en série d’un canal qui leur sert de sarbacane au milieu du palais ??? Et le coup de soufflet puissant et "sec" ou bref pr envoyer la « sauce » en fermant les deux opercules (unique ds le monde des poissons) d’où cela leur vient-il ? Moi je vous le dis les gars... Quelqu'un est encore passé par là ! ...

Poisson archer ! 5’16

https://www.youtube.com/watch?v=9Mpkj8fx6yk https://www.youtube.com/watch?v=7jz6VtUCtlg

Le Poisson Archer de Nat Geo Wild 3’57 bien-bien aussi, en français.

Interfaces > chasser de l’autre côté du miroir 3/3

L’Argyronète (argyroneta aquatica) l’araignée qui chasse sous l’eau en partant d’une cloche de plongée… eh oui, ce n’est pas le grand Léonard de Vinci qui aura été le premier sur ce coup-là, il était même, déjà à son époque, terriblement en retard !

http://www.maxisciences.com/araign%e9e/ ... 33404.html

Argyroneta aquatica (water spider) 2’15

Vidéo 1, 2'15 https://www.youtube.com/watch?v=GidrcvjoeKE

Vidéo 2 https://www.youtube.com/watch?v=xtHDTwkbqO0 1'36

Vidéo 1, super : elle enfle progressivement une belle réserve d’air pr y rentrer sa prise, fabuleux. Elle délaisse un moment sa proie (un grillon qui a du tomber à l’eau et quelle a neutralisé) pr remonter plusieurs fois à la surface chercher de l’air bulle après bulle afin de re-remplir sa cloche suffisamment pr qu’ils puissent y rentrer entièrement tous les deux : elle et son volumineux repas … génial !
______ Rappel, elle est obligée, comme toutes les araignées, de liquéfier sa proie de l’intérieur et d’en sucer le substrat obtenu pour pouvoir se nourrir.

Vidéo 2 L’argyronète une araignée scaphandrier 1’36
______ On notera qu’en entrant ds l’élément liquide, elle commence par se construire une toile subaquatique qu’elle va utiliser un peu comme un filet d’abordage qu’employaient les pirates et corsaires pr monter sur les bateaux attaqués ou convoités ; ce n’est qu’ainsi qu’elle pourra monter aisément vers la surface et surtout redescendre en force vers son repaire, les pattes bien agrippées à sn ouvrage en tractant sur sn dos une bulle qui tend tt naturellement à la ramener vers le haut, à l’air libre. Sur cette toile elle a prévu en bonne place, sous une feuille généralement, un petit sac, une résille de soies très souples destinée à emmagasiner les bulles d’air qu’elle y apporte et qui se gonfle peu à peu comme un ballon dirigeable.

Autre chose fabuleuse : quand les petits naissent, ils s’envolent littéralement et s’expatrient en pratiquant le « ballooning » au bout d’un long filament de soie qui s’élève ds les airs au gré des vents, porté par les alizés…(voir post n° 20 du 11/01 en page 3 intitulé « l’araignée tisse sa toile et « ballooning »).

______ Mais où a-t-elle été chercher toute cette technologie Hi-Tech ? ds sa minuscule tête ? Ou bien Quelqu’un l’a pensé pour elle dès le départ, une fois pr toutes ?

Interfaces … non, ces deux-là patrouillent juste dans le no-man’s-land de la surface, à la limite entre deux mondes : celui de l’air et celui de l’eau… mais ils ont leur « badge », une marque invisible qui protège l’espèce et ils ne risquent rien ou presque, ce qui leur permet de surfer plus ou moins impunément en « border line ».

Les Dolomèdes : araignées qui marchent sur l’eau 3’25 Vidéo 1

https://www.youtube.com/watch?v=DhHc0HYb_8I

2'40 https://www.youtube.com/watch?v=d_HtovbQ618 Gerris lacustris, l'insecte patineur.

et les Gerris (gerris lacustris) Vidéo 2 Ces fausses "araignées d’eau" qui patinent à la surface de nos mares, nos étangs, lacs et nettoient les plans d’eaux de nos jardins (eaux stagnantes, calmes ou à très faible courant). Pourquoi les poissons ne les mangent-ils pas ?? Tout simplement parce que ce sont des insectes (6 pattes et non 8 ), et qu’ils font partie de la famille des punaises… vs savez ce que cela donne comme odeur une punaise écrasée ? Ceci explique cela, il fallait bien trouver une parade pour qu’ils puissent faire leur job de nettoyeurs des plans d’eaux sans se faire harceler/décimer par tous les prédateurs de la jungle aquatique ! Tout comme les pluvians, ces oiseaux spécialisés ds le nettoyage des dents des crocodiles : pourquoi ne se font-ils pas manger, eux ? alors que tt autre oiseau qui s’y essaye n’a pas l’occasion de tenter deux fois l’expérience ? Souvenez-vous de la caille écervelée qui a essayé de se substituer à eux……

______ La "nature" a horreur du vide, c'est bien connu, mais son Concepteur n'a rien laissé au hasard : il n'y a pas de "blanc" dans son projet global ... nous y reviendrons bientôt avec les remarquables bousiers qui accomplissent un travail phénoménal pour ameublir, fertiliser, nettoyer la Planète... en traçant leur route sur la position du Soleil le jour et de la Lune, des étoiles (... peut-être, car c'est controversé) et même de la Voie Lactée par les nuits sans Lune !!! Eh oui, et ça c'est prouvé, un simple scarabée rouleur de boules de crottin et de bouse , vous vs rendez compte ?

"La nature a horreur du vide" : ordre des préséances sur une carcasse

________ Qui d’entre ns n’a jamais entendu cette expression très courante ? Au premier abord, cette maxime a l’air bien pensée, sur un plan pratique, c’est un constat que chacun de ns a eu l’occasion de faire à tous les niveaux, mais n’est-elle pas en elle-même une reconnaissance tacite que le Créateur – celui qui a pensé, planifié la nature ds ses moindres détails, précisément – n’a absolument rien laissé au hasard ? Dès le départ il a tout prévu, pourvu à tout, pour le bien de l’ensemble de sa création, de l’infiniment grand jusqu’au plus infime animalcule microscopique, sans oublier personne.
________ Le grand intendant Universel, en parfait gestionnaire, n’a en effet pas laissé la moindre « plage » de libre pour un éventuel « n’importe quoi » au sein de son écosystème général en ce qui concerne la Terre – Sa Terre – sa planète phare et tout ce qui l’habite ; l’homme a eu d’emblée droit à la jouissance de tout, il était seulement censé en prendre soin et l’entretenir… Cherchez l’erreur ( !), actuellement c’est bien l’Homme lui-même qui se comporte comme un électron libre et fait que la machine, oui tout le système en fait, dépérit, dysfonctionne et s’emballe.
_______ Prenons un exemple : Quand un gros animal meurt de maladie/vieillesse ds la nature, ou que sa carcasse est abandonnée par le ou les prédateurs qui ont causé sa mort, ce sont les vautours, ces grands nécrophages/nettoyeurs professionnels qui interviennent en premier lieu (et généralement en nombre).

________ Ces « veilleurs sanitaires » repèrent la bête à curer de très haut et de très loin grâce à leur vue exceptionnelle et leur odorat des plus performants.

_______ Chose curieuse, eux seuls sont capables de consommer des chairs en cours de putréfaction, même avancée, sans risque de se faire empoisonner par les bactéries hyper toxiques qui s’en dégagent et qui ont déjà entamé leur travail de décomposition. Elles tueraient net n’importe quel animal qui tenterait le coup ! Je parle ici de la tripaille et des parties les plus molles du corps, qui se dégradent très vite sous l’effet du soleil. A votre avis, pourquoi cette disposition digestive particulière ? …à force d’en avoir marre de crever empoisonnés, les représentants de l’espèce auraient « développé » spontanément une résistance aux bactéries mortelles ?
________ Après les vautours « classiques », viennent les Percnoptères, des vautours toujours, mais nettement plus petits avec un bec crochu encore, mais plus long et effilé, qui vont se contenter des restes qu’ils vont gratter avec minutie. Puis viennent les milans, Noirs ou Royaux, puis les corvidés, Corbeau et Pies de tous bords et autres oiseaux opportunistes plus petits.
________ Reste plus que la carcasse elle-même, l’indestructible structure de l’être, celle qui résiste même au feu intense. Saviez-vous que lors d’une incinération, le corps du défunt est entièrement consumé sous l’effet des brûleurs à mazout puissants ds le four du crématorium – ça c’est ce que tt le monde croit, moi aussi avant de savoir – tout brûle effectivement donc, à l’exception du squelette qui reste quasi intact et que les services des Pompes Funèbres doivent discrètement passer au broyeur/concasseur pr le réduire en petits granulés qui vont rejoindre le reste des cendres ds l’urne mortuaire, cette petite jarre qui est confiée aux familles ?!!
________ Mais revenons « in the wild », ds la nature, c’est très précisément à ce moment-là qu’intervient un autre vautour spécialisé le Gypaète (Barbu ou autre), le célèbre casseur d’os qui était resté en retrait. S’il a patienté jusque-là c’est parce qu’il sait pertinemment que maintenant il aura le champ libre : plus personne ne peut le suivre sur ce terrain-là. Il a en effet la particularité étonnante de ne consommer que des os et de se gorger tout particulièrement de la moelle qu’ils contiennent. Elle leur fournit tous les nutriments dont ils ont besoin. Et comme il leur faut bien casser ces os pour avoir accès à la précieuse ressource qu’est pr eux la moelle, ils se servent de la pesanteur comme d’un outil particulièrement efficace pr y parvenir : ils prennent leur essor en possession de l’os et s’élèvent ds les airs et précipitent ce dernier d’une hauteur variant entre 50 et 100m au-dessus d’un sol rocailleux ou d’un rocher… et lorsque l’os est cassé, fracassé, ils redescendent en curer la précieuse moelle. Au musée de Pau, paraît-il, les guides racontent l’histoire d’un roi qui, de passage ds les Pyrénées, serait mort le crâne défoncé par un os que venait accidentellement de lâcher au-dessus de lui un gypaète, d’une grande hauteur ôÔ.
________ Autre fait remarquable en ce qui concerne le Gypaète c’est que son gésier et ses sucs digestifs sont tellement performants qu’il est le seul à pouvoir digérer de conséquents fragments d’os qui perforeraient les tripes de n’importe quel autre volatile. Hasard ? Ou conception ?

Le gypaète barbu se nourrit d’os

1’10https://www.youtube.com/watch?v=y_-zfrzhWao https://www.youtube.com/watch?v=Sy_cGLoAgw4


Nous parlerons prochainement d'un autre nettoyeur/finisseur hyper efficace qui, à l'instar des fourmis, travaille en très grandes colonies et qui est l'ami des taxidermistes et des Conservateurs de Musée. Ces derniers n'hésitent pas à en importer et en élever en quantité pour s'attacher leurs précieux services, j'ai nommé Dermestes vulpinus : Flesh-eating beetle, "le scarabée qui mange les chairs" ... mortes, quand-même !

Bon, voilà, c'est fait, un "massacre" (c'est le terme précis) de cerf européen prêt à être paré en trophée par la société de taxidermie... on aime ou on n'aime pas, mais cela démontre bien l'efficacité des bestioles qui ont "plié" le travail en une trentaine d'heures !! C'est ce qu'elles font ds la nature au quotidien, tt en bas de la chaîne.

Grues demoiselles ou Grues Communes de Mongolie : migration bisannuelle massive ds un sens puis ds l'autre de la chaîne de l’Himalaya (à plus de 7000m d’altitude !)

________ Rappel : Mont Everest : 8848m, Annapurna : 8091m
________ Elles arrivent dès l’automne par vols de moyenne importance, étirés en V caractéristiques, mais elles sont des dizaines de milliers, en fait, au total à franchir le gigantesque « mur » que représente la chaîne des montagnes himalayennes, sorte de cirque minéral qui compte les plus hauts sommets du monde dont l’Everest (8848m) et l’Annapurna (8091m) répartis sur trois rangées de crêtes et qui s’étend sur plus de 2400 kms, couvrant pas moins de six pays, et pas des moindres : Inde, Pakistan, Afghanistan, Chine, Bhutan et Népal.
________ Franchir ce mur-là précisément est une question de vie ou de mort pr l’espèce & elles n’ont pas d’autre choix : le froid Sibérien qui gagne les plaines de Mongolie l’hiver ne leur laisserait absolument aucune chance. Le climat tempéré, la douceur de vivre et surtout la nourriture en abondante, c’est vers le Sud, beaucoup plus bas qu'elles doivent aller les chercher, de l’autre côté, dans les riches plaines de culture de l’Inde (qu’elles pillent quelque peu et ou elles ne s’y font pas que des amis )

En gros, la vidéo (en anglais) dit ceci : Dans l’Himalaya (curieusement au pluriel en anglais) souvent surnommé « le toit du monde », les larges pans de montagne exposés au Soleil génèrent en fin de matinée des courants d’air chaud ascendants très puissants qui, au contact des courants aériens glaciaux qui slaloment entre les cimes engendrent à leur tour de violents orages (qualifiés de « féroces ») en fin de matinée.
________ Si elles se présentent au portillon là-haut et tentent la traversée à ce moment-là, c’est la mort assurée. Elles sont donc obligées – bien à contrecœur on l’imagine – de faire demi-tour et de renoncer pour cette fois… mais qui ou plutôt laquelle d’entre elle décide ? Elles vont donc se poser (et se reposer) sur les contreforts ou ds une des vallées d’alentour, côté Nord donc, puisqu’elles arrivent de Mongolie et ne sont pas encore passées, pour y attendre l’opportunité, le bon créneau horaires/météo.
________ En fin d’après-midi ça se calme bien sûr, grâce à l’action globale du soleil à son zénith sur l’ensemble de la chaîne de montagnes (en fait 3 chaînes parallèles), mais là ça leur ferait trop tard pour entreprendre la difficile traversée avec le froid qui augmente rapidement au fur et à mesure que la nuit tombe parmi ts ces giga-glaçons ; il y a au sein de ce groupe de candidats migrants saisonniers, de nombreuses femelles et beaucoup de juvéniles de l’année également qu'il faut plus ou moins épauler. L’avenir de l’espèce, encore un peu fragiles, çà se ménage .
________ Le lendemain, comme disent les anglais, "est un autre jour"… et c’est le cas : il fait beau. Le temps étant plus clément ils en profitent pour se mettre en route de très bonne heure et attrapent au vol les premiers courants ascendants d’air chaud du matin pour reprendre leur long périple là où ils l’avaient laissé la veille…Ils se retrouvent ainsi assez vite au sommet des montagnes juste au moment (fin de matinée) où les premiers orages (violents et glaciaux) menacent déjà.
________ En arrivant à ce stade, face aux « cols »ou couloirs de haute altitude (entre 7 & 8000m), elles sont très fatiguées, épuisées par le manque de nourriture, la raréfaction de l’air et surtout le froid intense. Chaque battement d’aile devient pour elles un véritable challenge… c’est dur, « il faut tout », mais elles passent juste à temps. Une vie de rêve, un climat beaucoup plus clément et surtout une nourriture abondante et variée les attend là-bas, à l’horizon.

Mais comment peuvent-t-elles réaliser de telles performances, elles qui sont censées, à l’instar de tous les oiseaux et d’après ce que prétend la théorie de l’évolution, « descendre » du lézard ? Réponse et démonstration par édit signalé très prochainement.

Grues demoiselles ou Grues Communes de Mongolie au-dessus de l'Himalaya, c'est géant !

4’18 https://www.youtube.com/watch?v=_skh3a-h_uA

Remarque perso : ce qui me frappe c’est de les voir prendre le méga ascenseur thermique en étant obligées de réduire volontairement la voilure comme un parapentiste expert pr ne pas être entraînées dans le vortex plus vite que les copines et donc être rapidement désolidarisées du peloton et risquer de se perdre ds la nature (pas pr tt le monde, les grands rapaces, aigles en particulier, patrouillent aux alentours, et attendent les isolées en contrebas). Lorsqu'elle prennent l'ascenseur par chez nous, ici en Gironde/Dordogne, ds les thermiques locaux, elles gardent les ailes bien écartées pour avoir le maximum de prise à l'air, mais les courants ascensionnels sont infiniment moins violents.

A l’instar des Grues demoiselles ou Grues Communes de Mongolie que ns venons de voir (post précédent), les oies à tête barrée de Mongolie « jouent » aux montagnes russes deux fois l’an (ds un sens puis ds l’autre) sur la chaîne de l’Himalaya, qui regroupe les plus hauts sommets du monde.

________ ...à ceci près, et la différence est de taille, c’est que si la grue peut se permettre de planer pour prendre quelque repos quand les courants d’air son suffisamment porteurs, alors que pour l’oie à tête barrée, comme pr ttes ses consœurs des espèces cousines sans doute, c’est absolument hors de question : à cause de la conformation de leur corps (lourd et ramassé), elles peuvent voyager, certes, et même très bien, mais sont obligées de « ramer » tt le temps, sans pouvoir jamais cesser de battre des ailes ; elles sont donc tenues – de par leur nature-même – à une gestion très rigoriste de leur économie énergétique globale.
________ Elles traversent donc l’Himalaya en 15 jours – 3 semaines mais en « jouant » aux montagnes russes, c'est-à-dire en dents de scie au gré du relief rencontré. Dans l’excellent article paru ds le Monde le 15/01/2015, les scientifiques expliquent parfaitement pourquoi :
________ "Les oies sauvages jouent aux montagnes russes au dessus de l’Himalaya", voir site : Le Monde http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... cWrV7Bp.99 suivent les reliefs …explication : parce qu’elles ne planent jamais

The Highest Flying Birds in the World 2’43 (voix de D.Attenborough) Titre : "Les oiseaux qui volent le plus haut au monde".

https://www.youtube.com/watch?v=WnNQWj98BR0

Mongolian Common Crane & Bar-headed Geese – [On y voit que ce sont les oies à tête barrée qui battent ts les records de vol en haute altitude sur l’ensemble des oiseaux de notre planète : elles passeraient même au-dessus de l’Everest en volant entre 9 et 10 000 mètres selon ce qui est dit ici, pr aller chercher les forts courants aériens qui les « boostent » et les emmènent rapidement, en « overdrive » hors de la chaîne de Himalayenne en les transportant – par vent arrière, à la manière des spi(s) – à plus de 160 km/h ! Regardez bien au moment où elles passent au niveau des sommets, là où l'air est bp moins dense, donc moins porteur, et l'oxygène plus rare et voyez comme elles sont obligées de battre des ailes bp plus vite pr simplement se maintenir à niveau ].

________ Voyons comment un oiseau est manifestement conçu pr le vol : Ses os son légers et creux, contrairement à ceux du lézard qui sont pleins. Cependant, l’oiseau a besoin de force pr voler et à cette fin, il y a ds ses os des espèces d’entretoises qui agissent comme celles qui sont ds les ailes des avions. Mais cette forme des os sert un autre dessein. Elle permet en effet d’expliquer une autre caractéristique extraordinaire typique, spécifique au monde des oiseaux : leur système respiratoire.
18 – Les ailes des oiseaux qui battent en vol pendant des heures « non stop », voire des jours, produisent beaucoup de chaleur. Et pourtant, bien qu’ils n’aient pas de glandes sudoripares pr les rafraîchir, les oiseaux « résolvent » le problème : ils disposent d’un système de « climatisation intégrée ». Ils sont dotés de sacs aériens qui sont reliés à presque toutes les parties importantes de leur corps, y compris les os creux. C’est cette circulation interne de l’air qui réduit la chaleur de leur corps. De plus, grâce à ces sacs aériens, les oiseaux peuvent absorber l’oxygène contenu ds l’air (même raréfié) plus efficacement que n’importe quel autre vertébré. Comment procède-t-il ?
________ Chez les reptiles et les mammifères, ce sont les poumons qui, tels des soufflets, inspirent et expirent alternativement de l’air. Mais chez les oiseaux, c’est un courant d’air renouvelé qui traverse constamment les poumons durant l’inhalation et l’exhalation. En clair, le système fonctionne ainsi : Quand l’oiseau inspire de l’air, celui-ci pénètre dans certains sacs aériens qui, tels des soufflets, l’enverront dans les poumons. Des poumons, l’air sera envoyé vers d’autres sacs aériens qui finalement l’expulseront. Cela signifie qu’un courant d’air continu, sans cesse renouvelé traverse en permanence les poumons de l’oiseau, toujours dans le même sens, un peu comme un filet d’eau qui traverserait une éponge. Le sang, quant à lui, circule dans les capillaires des poumons, mais en sens opposé. C’est cette circulation de l’air et du sang en sens inverse qui fait que le système respiratoire de l’oiseau est exceptionnel. Grâce à lui l’oiseau peut respirer de l’air où l’oxygène est raréfié dans la haute atmosphère et peut voler ainsi sans problème à quelques 6000 m d’altitude pendant des jours entiers lors de sa migration*…(on serait tenté de dire « semestrielle » vu que c’est deux fois par an : Aller & retour)…qui l’amène à parcourir ds milliers de kilomètres (pr certains des dizaines de milliers : Sterne Arctique : 35 000 kms, Barge Rousse etc…).

*Imaginez que l'un d'eux s’essouffle à ce moment-là, où se poserait-il pr récupérer ? Et comment rattraperait-il la compagnie qui aurait continué à suivre son cap ? Vous n'y avez jamais pensé ? Rassurez-vous, Lui y a pensé !
Je déduis de ce qui précède que s'il serait possible de détecter quelque buée en mettant une glace près du bec/narines d'un oiseau à l'arrêt (en cage par exemple), en vol ce serait tt à fait impossible car il fonctionne alors comme un avion à réaction qui avale de l'oxygène d'un côté (par l'avant) et le recrache vers l'arrière par ses réacteurs qui servent de méga pots d'échappement.

La Sagesse manifeste de la Spatule Rosée des Amériques : Elle a des notions sanitaires innées (& vitales !) en matière de diététique post natale, celle du nourrisson .

Roseate Spoonbill feeding… in fresh water, because the chicks back in the nest can’t process the unavoidable salt when their parents feed in salt water [c’est le commentaire écrit qui accompagne la vidéo, en guise de présentation- traduction ci-après].

0’38 https://www.youtube.com/watch?v=5F4x5se0E1E

Intelligence Animale : La Spatule Rosée* (Platalea ajaja), hôtesse des lagunes, estuaires et bords de mer va faire son « marché » en eau douce en période de nidification, parce que l’organisme de ses poussins – lorsqu’elle est de retour au nid – est absolument incapable de gérer le sel qu’ils absorbent inévitablement lorsque les parents vont se nourrir en eau salée.
* Il s’agit d’un bel oiseau (échassier) exclusivement américain qui peuple tout le continent du Nord au Sud, jusqu’aux antipodes, et que l’on ne retrouve nulle part ailleurs ds le monde.

Evolution ou Création ? Rien que cela est une preuve des plus parlantes : Qui a bien pu leur inculquer une telle sagesse ? Les nombreux hasards et aléas d’une hypothétique « évolution » : l’espèce aurait réagi et trouvé d’elle-même un plan B à force de voir tous les petits crever d’une overdose de sel ? Ou plutôt un Créateur parfaitement responsable qui connait les tenants et les aboutissants de tt ce qui se passe sur la planète et utilise volontiers son savoir et sa préscience pr le bien de l’ensemble de sa création (animale, végétale & humaine)? !!

Les oiseaux se passent fort bien de permis de construire, même en zone urbaine et du coup ils laissent libre cours à leur insoupçonnable génie créatif !!

25 Unusual Bird Nests in the Weirdest Places 1’20 Vidéo 1 (nids d'oiseaux : 25 emplacement hors du commun)

1'20 https://www.youtube.com/watch?v=FioKZ1A6WQo 2'56 https://www.youtube.com/watch?v=tT5ay4HtS_o

>>> Vidéo 2 - Fournier roux d'Argentine qui bâtit son nid sur une branche maîtresse

Intelligences animales : Ces oiseaux naissent la truelle au bec ; sur cette autre vidéo, 8 nids superposés, version HLM sur échelle de citerne ! Vidéo 3

https://www.youtube.com/watch?v=jT_zorlTKeA


Ces canaris n’auraient jamais eu le savoir-faire nécessaire pr construire un nid en dur, façon "fournier roux", mais il est libre, l'emplacement est original ici aussi et la vue leur convient parfaitement, alors ils s’installent, tout simplement
https://www.youtube.com/watch?v=WHclaUdnj9s 4’33