Mâchoires sous auto-contrôle :

Dosage de puissance (fort heureusement génétiquement préprogrammé par le Grand Concepteur) pour assurer la survie des espèces, et cela a très bien fonctionné jusqu’à ce jour, preuve que ça marche, CQFD ! (Ce Qu’il Fallait Démontrer ).

1 -Tigresse sauvage en liberté et ses petits 3’53 http://www.vidoevo.com/yvideo.php?i=a1h ... vNEU&wild- - tiger-cub-for-the-first-time-on-film-david-attenborough-tiger-spy-in-the-jungle-bbc.... superbe délicatesse d'un grand félin

2 -Quand un crocodile déplace sa progéniture juste éclose entre ses redoutables mâchoires...
2'14 https://www.youtube.com/watch?v=XH3xQQ9_ZmI
Ses petits entre les crocs !!...ses fragiles "poussins" tout juste sortis de l’œuf

________ Et pourtant crocs peut disloquer une proie (ici un walabi, en Australie) en qques secondes, la broyer comme au mixer et la débiter en morceaux prêts à être ingérés en suivant. à voir https://www.youtube.com/watch?v=ATBrSet6538 5’17

________ Souvenez-vous aussi de la grenouille taureau d’Afrique, dont je vs ai déjà parlé plus avant ds ce sujet, elle qui dévore tout sur son passage mais dont un mâle est désigné par la collectivité pr veiller sur la pouponnière générale de la colonie et qui gère le niveau d’eau pour empêcher le dessèchement des têtards exposés au cagnard de là-bas : il leur creuse même des canaux à même la glaise des berges de leurs marigots pour leur permettre – tt en restant dans l’eau – de regagner des mares plus grandes et plus profondes afin d’y continuer leur croissance ds de bonnes conditions…C'est pas un vrai papa poule, çà ?? ... Alors, Hasard ? Ou bienveillante disposition de Celui dont le Nom, concentré ds le tétragramme hébreux (4 lettres : YHWH), signifie « Il fait devenir » ? rappels Grenouille taureau : 2’43 https://www.youtube.com/watch?v=l3uO2lO9JDk et 3’46 https://www.youtube.com/watch?v=xlPwPxHIzNg en page 10 (n°81) du sujet.

Le cas des dinosaures
à votre avis, est-ce parce que ces gros balourds de dinosaures auraient fini par écraser par maladresse tous leurs œufs ou les auraient dévorés que les espèces dites « préhistoriques » ont disparu ?? Bien sûr que non !
________ Ils (les mères tt au moins) avaient certainement les mêmes égards, les mêmes délicates attentions pour leurs petits que nos féroces prédateurs contemporains : pour des raisons similaires leur Concepteur avait consciencieusement sculpté / ciselé le comportement qu’il fallait ds leur ADN pour assurer la pérennité des espèces.
________ Non, mais ce sont bien des événements cataclysmiques d'une force inouïe et ciblés qu’il Lui a fallu mettre en place pour en venir à bout et les éradiquer totalement afin de mettre fin à leur règne*, une fois que leur rôle de méga défricheurs était accompli, leur présence étant devenue incompatible avec l’apparition programmée de l’Homme et son implantation sur TOUTE la Terre : Dieu avait pour lui, l'Homme (et il l'a toujours) un dessein particulier.
________ S’il n’y a pas eu d’Evolution au sens où on l’entend généralement, il y a bien des étapes progressives dans l’accomplissement du dessein de Dieu, et il mène à bien son projet, quoi qu’il arrive… soyons assez avisés pour essayer d’en faire partie, du bon côté bien sûr, il n’en tient qu’à chacun de nous.

*les grands charniers fossilisés retrouvés çà et là dans les fouilles par les archéologues en sont la preuve.

________ Souvenons-nous que là-dessus la science des hommes et le récit biblique sont tout à fait d’accord ** : d’abord apparition de la terre, de l’air et de l’eau, puis de la végétation qui se nourrit de terre, d’air et d’eau, précisément (... logique et indispensable pour nourrir les animaux à venir et l’Homme, qui plus est luxuriante sous l'effet de serre, donc très envahissante), puis des grands monstres marins y compris des dinosaures-giga herbivores, puis, plus tard, des animaux et en tout dernier de l’Homme, cerise sur le gâteau, prévu pour parachever la Création grandiose de Dieu…Il y a eu un incident de parcours – majeur, certes – mais sitôt que les premiers humains, abusés par une créature spirituelle de haut rang mais gonflée d’orgueil, se sont détournés de la juste direction de Dieu, Il a su aussitôt « rattraper le coup » et a sorti la merveilleuse parade consignée en Genèse 3 :15 (chapitre 3, verset 15) annonçant dores et déjà la généalogie qui mènerait au Christ, relançant l'espoir en nous promettant la venue d’un Messie parfait dont la fidélité exemplaire permettrait de racheter la faute de nos premiers parents, celle qui a engendré leur chute dans l’imperfection qui a mené à la mort jusqu’à nos jours… et par voie de conséquence notre chute à nous aussi.
________ L’humanité ne peut absolument pas survivre sans l’aide de Dieu, elle n’a pas été conçue pour cela, aujourd’hui nous en avons la preuve flagrante à l’échelon planétaire, qui (?) pourrait sérieusement affirmer – sans rougir & sans ciller – le contraire ? Bien sûr aussi que les hommes ont tout fait pour essayer de se passer de Lui, de « faire les grands garçons », mais les faits sont là aussi, et ils parlent d’eux-mêmes : quelle que soit la direction où l’Homme se tourne actuellement, il se trouve à très court terme face à une impasse.
________ Tout cela avait été annoncé de longue date ds les évangiles et ds les écritures en général pour nous permettre d’ouvrir les yeux et de réagir favorablement au message de la bonne nouvelle du Royaume à venir (imminent aujourd’hui)… mais qui veut l’entendre ? Et faire les efforts nécessaires de remise en question personnelle pour avoir des chances de rentrer par la porte étroite qui mène à la vie éternelle (...sur une Terre restaurée, c’est cela le plan inchangé de Dieu depuis nos origines, et rien d'autre !) en ne suivant plus le flot de la grande majorité des humains "rebelles" qui s’engouffrent inconsciemment, aveuglément ds la voie large et spacieuse et que l’On (l’ennemi de Dieu) mène tout droit à l’abattage
[voir L’évangile de Matthieu, chap.7 et le versets 13 & 14 nous dit ceci (c’est le Christ qui parle) : Entrez par la porte étroite, parce que large et spacieuse est la route qui mène à la destruction et nombreux sont ceux qui rentrent par elle ; tandis qu’étroite est la porte et resserrée la route qui mène à la vie, et peu nombreux ceux qui la trouvent.] Si ça c'est pas de l'actualité ...

** Puisque Dieu ns a donné une cervelle pr réfléchir, méditons un peu là-dessus : les étapes où les choses sont apparues sur la Terre, il est aujourd'hui aisé de les cerner grâce aux nombreuses investigations scientifiques et à la technologie très pointue dont nous disposons... mais à l'époque où le premier livre de la bible a été écrit (rédacteur Moïse, terminé en 1513 av.nè), la Genèse, aucun humain ne pouvait avoir été présent pour être témoin visuel de ce qui s'est passé pendant les 6 "jours" de Création (des milliers d'années en fait) et le transmettre par voie orale ou écrite à ses descendants... et pourtant la chronologie de l'apparition successive de tout ce qui "meuble" notre belle planète, y compris nous, a été scrupuleusement respectée, le descriptif est parfait ... or il n'y avait dans l'Univers que que deux témoins oculaires fiables : Dieu lui-même, le Créateur et inspirateur des Ecritures, et son fils bien aimé et sa seule création directe Jésus-Christ, dans son existence pré-humaine ! Voir ds les écritures grecques chrétiennes, ds la Bible donc, la lettre de Paul aux Colossiens, chapitre 1, versets 15 à 17... et laissez-vous aller à lire un peu le reste de cette très belle lettre, beaucoup parmi vous seront (agréablement) surpris

Oiseaux & mammifères pollinisateurs : le cas des souimangas

________ Les souimangas, ces magnifiques petits passereaux africains et asiatiques, dispersent le pollen de plantes comme l’aloès, la bruyère, les protées et bien d’autres. voir http://www.club-panda.fr/comprendre/ois ... nisateurs/ dans la rubrique « oiseaux et mammifères pollinisateurs, et tout particulièrement « le cas du Souimanga »
________ Ils sont si efficaces qu’une orchidée de l’île de Madagascar « déploie* » une stratégie fort sophistiquée pour les appâter : Elle émet un parfum puissant qui attire des moucherons.. lesquels attirent à leur tour une espèce d’araignée... dont sont friands les souimangas : le "piège" est prêt ! Cet oiseau nectarivore qui est donc également insectivore, transporte alors le pollen ramassé malgré lui vers d’autres orchidées ; c'est génial, non ?

* Tiens ?! Il y aurait donc du QI chez les orchidées ?

________ Plus raisonnablement, Quelqu’un n’aurait-il pas plutôt pensé pour elles Et – vu la stratégie utilisée – quelqu’un de très perspicace ! Tout comme pour la vipère de Péringuey ou vipère des sables que je vous ai déjà proposée sur cette partie du forum (…) : son leurre caudal étant son unique « gagne-pain » au milieu de nulle part, tapie dans le sable du désert, il lui suffit de l’agiter pour qu’un lézard dont l’irrépressible curiosité est légendaire s’approche d’elle (tout en restant prudemment hors de portée), juste pour voir ce qui se passe… mais c’est là qu’est le piège : une fourmi aussi est attirée par ce brin de quelque chose de mobile qui émerge du sol et elle s’en vient tout de suite jouer des mandibules pour voir de plus près ce qu’il pourrait y avoir à grignoter dessus.
________ C’est fatal pour le lézard qui ne peut résister au passage d’une délicieuse fourmi à portée de langue et c’est donc lui qui offrira malgré lui son repas à la vipère en lui procurant dans ces zones d’aridité extrême, à la fois le boire et le manger.

Voici un autre cas intéressant : Xanthopa morgani praedicta – Le Sphinx Géant « prédit » par Darwin (c'est un insecte)…et découvert 20 ans après sa mort.


--> https://www.youtube.com/watch?v=iMz6lApJgu4 3'

Ghost orchid visited by giant sphinx moth 1’30 https://www.youtube.com/watch?v=ca--GgEe2Zg

________ Charles Darwin a déclaré en 1862 que la condition sine qua none pour qu’une espèce d’orchidée (La « Fantôme » dendrophylax lindenii) de Madagascar existe, c’est qu’il devait forcément y avoir dans le secteur un animal (mammifère, insecte ou oiseau) ayant une langue ou une trompe suffisamment longue (30 cm !) pour pouvoir polliniser ces fleurs démesurément profondes ; et que lorsqu’on l’aurait trouvé (e), cet animal ou insecte serait la preuve ( ?) qu’ils auraient évolué l'un et l'autre en même temps ( )
________ Il est mort en 1882, et le sphinx géant (cocyctius antaeus) à la trompe longue de 30 cm correspondant précisément aux besoins de l’Orchidée-Fantôme n’a été découvert qu’en 1903, plus de 20 ans après le décès de Darwin. Voilà donc un cas unique d’Evolutionniste-Prophète (c’est un comble, non ?) ; c’est d’ailleurs ainsi qu’on a baptisé ce « papillon» : Xanthopa morgani praedicta ou the Darwin Moth. Mais tout cela n’était de sa part qu’une affirmation gratuite, basée sur un constat façon « La Palice » : cette fleur existe, malgré son calice très profond, il doit donc y avoir dans la nature environnante un être qui soit équipé d’un organe suffisamment long pour aller chercher le nectar et la polliniser en allant s’alimenter ensuite sur d’autres fleurs de la même espèce pour les fertiliser et que la chaîne continue...
________ Au lieu de chercher des scénarios rocambolesques qui ne tiennent absolument pas la route devant un calcul élémentaire de probabilités (évolution simultanée animal/végétal), pourquoi ne pas convenir que c’est le Créateur lui-même qui a prévu et la fleur et son mode de reproduction. Nous avons d’ailleurs toute une série d’associations plus ou moins forcée entre le règne végétal et animal où la plante ou la fleur (notoirement décérébrée) joue un rôle passablement « esclavagiste » ou "négrier" (au sens original du terme) sur des animaux - insectes en particulier - qu'elle "oblige" littéralement à effectuer le travail de pollinisation malgré eux en leur tendant un piège !!! On en reparle un peu plus tard.

Musaraigne « les « toilettes » végétales d’une musaraigne arboricole de la forêt de Bornéo : La Plante Carnivore du Rajah

1’28 https://www.youtube.com/watch?v=TwL7K_loRjM

________ Sir David Attenborough explique l’étrange relation de symbiose qui unissent les musaraignes arboricoles de Bornéo et les « plantes carnivores du Rajah » du Mont Kinabulu. Ces plantes fonctionnent en fait comme toutes les autres plantes carnivores : elles attirent et enivrent de leur nectar les insectes qui tombent dans le réceptacle et se noient ; elles peuvent ensuite les digérer et s’en nourrir.
________ Pour la musaraigne, c’est différent : elle est attirée elle aussi par le succulent nectar qu’elle lèche goulûment sur la partie supérieure de la plante, mais bien que le bol, sous ses pattes, soit profond, elle ne risque pas de se noyer (avec ses griffes elle se cramponne sur la « lunette » de son WC végétal et s’aide aussi de sa queue fournie) mais dépose en contre partie dans la cuvette de petites crottes qui fertilisent la plante et lui fournissent l’azote dont elle a besoin pour sa croissance.
__ Comment une plante notoirement décérébrée, un simple « légume » à l’état purement végétatif aurait-il pu mettre au point une technique de survie aussi sophistiquée ? Et la faire durer dans le temps !! N’y a-t-il pas là, de toute évidence la mise en place d’un concept de Concepteur… et qui fonctionne ? En fait la plante « paye » son engrais en "nature" (pour une fois, c'est bien le cas de le dire ), à savoir avec une partie du nectar qu’elle produit, génial, non ?

Nota(s) : cette remarquable symbiose n’a été découverte ou du moins scientifiquement recensée et décrite qu’en 2010 !
D'autre part, l'ingestion du nectar doit avoir des vertus laxatives à effet immédiat car cela m'étonnerait que la musaraigne soit assez futée pour payer délibérément son tribut à la plante ! à moins que...à moins que la musaraigne ne vienne voir la plante que lorsqu'elle a des problèmes gastriques ?! Allez savoir....
Peut-être même que c'est la position inhabituelle et inconfortable de nourrissage (anus en contrebas, ds le vide) qui force mécaniquement la musaraigne à déféquer ? Ou bien (car c'est futé un animal ) a-t-elle remarqué que les déjections stimulaient le ressuage du délicieux nectar, là-haut sur la corolle ? C'est possible car il me semble que d'entrée, juste en arrivant, elle dépose déjà un premier cadeau, un peu comme la paume de notre main qui actionne les distributeurs automatiques de savon liquide dans les latrines publiques, après ns être soulagés

Pollinisation nocturne non stop des fleurs de baobab en Juin/Juillet au Sénégal

• Chauve-souris (Eidolon helvum) & pollinisation des fleurs de Baobab (Adansonia digitata) titre anglais mais commentaire en français

SU-PER ! 12'27 https://www.youtube.com/watch?v=PsTOLm0zF-Q 7

________ Afin de pouvoir résister aux chaleurs torrides d’Afrique, les fragiles fleurs de Baobab – qui ne vivent qu'une nuit – n’éclosent qu’en fin de soirée, vers 8 h du soir juste avant la nuit et mettent 1 heure et demie à s'ouvrir, ce qui laisse peu de temps aux abeilles, guêpes et autres hyménoptères [il s’agit des insectes à 4 ailes solidaires et synchro qui prennent soin, nourrissent et élèvent leurs petits à l’état de larves] pour venir les visiter & donc assurer leur pollinisation.
________ C’est alors qu’entre en scène une variété de roussette, « Eidolon helvum », une grande chauve-souris frugivore/nectarivore qui vient précisément se gaver du précieux nectar. La pollinisation s’effectue donc pour ainsi dire « post mortem » car lorsqu’on voit les « cadavres » de fleurs déchiquetées par les chiroptères qui jonchent le sol au matin, on comprend bien que c’est tout le pollen qui s’est agrippé autour de leur museau et sur les poils de leur corps et de leurs ailes – lors de leurs agapes effrénées de la nuit – qui va assurer la continuité du travail de fécondation lors de leur prochaine approche des fleurs sur les baobabs environnants.
________Dieu que tes "hasards" font bien les choses !

Salut !

Alors les brebis sont bien rentrées ?
Pour la collection je me permet d'ajouter ces petites bêtes :
http://i.imgur.com/voCTi2e.gifv

Qui peuvent rappeler une époque lointaine où les cieux étaient dans toutes les têtes, qu'ils le veuillent ou non d'ailleurs...

Slt mousset, merci pr tn post

________J'avais posté le 16 mai 2016, en page 10 une vidéo similaire (n°90.3 du récapitulatif de la page 7) montrant ce qui se passe en amont, quand le gros iule (de 15cm!) est encore vivant. Sur la vidéo que tu proposes, les auteurs veulent comparer les fourmis aux esclaves des anciens Égyptiens alors qu'il n'en est rien : comme le montre bien la vidéo que je remets ci-après, toutes ont participé à la chasse et toutes collaborent "comme un seul homme" pour rapatrier le fruit de leur dur travail vers la fourmilière où les attendent leurs nombreuses petites larves à nourrir. Il n'y a aucune contrainte ds leur comportement.
________ Sur un plan symbolique - si c'est bien là où tu veux en venir puisque tu compares les fourmis à des "brebis" - c'est exactement la même chose. La foi, ce n'est pas quelque chose qui te tombe "tout cuit ds le bec", selon l'expression consacrée, c'est au contraire quelque chose qui se construit sur des bases solides, il faut parfois se battre pr l'acquérir et la défendre ; c'est quelque chose qui nécessite bp de matière grise et c'est parfois, et même souvent, un combat à la David contre Goliath, comme ce mille-pattes géant.
________ Il ne faut donc pas s'étonner si après un tel combat dont elles sont sorties victorieuses, les brebis/fourmis ne ménagent pas leurs efforts pour pouvoir jusqu'au bout bénéficier de la jouissance de leur précieux butin : le super casse-croûte pour toute la colonie des fourmis, elles et leur progéniture, d'une part... et les promesses divines des bonnes choses à venir qui accompagnent la vraie foi, pour le chrétien fidèle de l'autre ("chrétien" au sens biblique originel du terme, bien sûr).

https://www.youtube.com/watch?v=Oc56_-wuPVc 3’30 Fourmis Bleues du Cambodge qui chassent et rapatrient un gros iule, traction à la chaîne façon épreuve de force basque : le tir à la corde

Racket & piraterie aérienne délibérée chez les oiseaux de proie

________ Prédateurs-chapardeurs ailés : le racket organisé ds le monde animal… Ce n’est sûrement pas un exemple à suivre pr nous humains, mais c’est en tt cas une preuve certaine d’intelligence animale : observation + raisonnement puis passage à l’acte. Certains oiseaux-victimes ont bien enregistré le caractère d’urgence de la situation : quand ils se sentent visés, ds le collimateur de ces « voyous du ciel », ils préfèrent régurgiter tout de suite leur butin, le fruit de leur dur labeur de parents attentionnés et responsables et s’en retourner aussitôt à la pêche en quête d’une ou de plusieurs autres prises afin d’éviter d’être eux-mêmes vilipendés, maltraités, voire tués ; preuve, là encore de « clairvoyance » de leur part.
________ Il faut bien qu’ils se projettent mentalement ds l’avenir immédiat pr savoir ce qui les attend s’ils n’obtempèrent pas de suite… et pour ce faire, se remémorer ce qui leur est peut-être déjà arrivé ds un passé plus ou moins récent ou bien ce dont ils ont été témoins aux dépens de leurs parents ou congénères. Pas « Fous » du tout ces oiseaux-là .

Vidéo 1 : Frégates dites "magnifiques" rackettent Fous Masqués en plein vol et les obligent, manu militari à régurgiter leurs prises (en slomo)!! 1’56

https://www.youtube.com/watch?v=ifes66o4t7s https://www.youtube.com/watch?v=cfVyBHxdJ-c 1'25

Sur la vidéo 2 : Idem, Frégates flagrants délits (ou délires ) de piratage 1’25 attaque aérienne de « Paille-en-queue » et rapt au sol de poisson destiné à nourrir juvénile de Fou

Idem autre lien : Frégates « Magnifiques » (Fregata magnificens) rackettent Phaéton-Tropicbird – « Paille en queue » au Galapagos pr lui faire régurgiter sa pêche 1’50 https://www.youtube.com/watch?v=ivnHcBNSvWA

La technique mafieuse utilisée est manifeste : terroriser les victimes pour les inciter à "collaborer spontanément"... sinon c'est la "baston" assurée ceux qui comprennent vite s'en sortent mieux que les autres

Flying Devils ou Diables des airs (Faucons ou aigles des Falklands ou Malouines, îles situées à 480 kms à l'Est de l'Argentine, il s'agit du Caracara austral ou strié, Phalcoboenus Australis, surnommé "Johnny Rook") 2’47 ces démons volants incarnent la malveillance délibérée vs le monde entier (y compris les humains qui les étudient et leur matériel) difficile d'être plus "teignous" https://www.youtube.com/watch?v=Y7qcNiJTfVU
Autre exemple : Aigle pêcheur (Pygargue) rackette grand héron bleu au sol (marais) https://www.youtube.com/watch?v=EfohermfGyU
autre cas de piraterie aérienne : aigle pêcheur (jeune) vs Jabiru, cigogne africaine 1’58 https://www.youtube.com/watch?v=gYYFDV0xD8c

Cigognes et hérons cassent les 3 piquants des Poissons-chats avant de les avaler !

La cigogne « bec-à-selle » ou Jabiru d'Afrique ( Ephippiorhynchus senegalensis) qui soi-disant galère ou bataille pour avaler un poisson, la persévérance serait la solution 2’05 saddle-billed stork « struggle » to swallow fish, Perseverance is key … https://www.youtube.com/watch?v=40MPRRidk9w Mais non, pas du tout, il casse d’abord les trois épines du poisson-chat pr ne pas blesser son gosier !!! Vidéo n°1

https://www.youtube.com/watch?v=40MPRRidk9w https://www.youtube.com/watch?v=MP0DFVO16Zk Vidéon°3 3min30

_______ …Tout comme cet autre type de cigogne ds la Video n°2 crocodiles vs birds "crocodiles contre oiseaux" dont je ne mets ici que l'hyperlien, en guise de rappel car je l'ai déjà postée plus haut. Il s’agit du Tantale Ibis (Mycteria ibis) 2’52 https://www.youtube.com/watch?v=7YmfUXtN6og (bonus superbe : des guêpiers à front blanc qui boivent en pleine eau ou chassent au ralenti (vol plané très lent, quasi « stationnaire ») sur et sous la surface !!! Le commentateur anglais dit que les crocos ne s’en prennent pas aux cigognes (ici le Tantale Ibis) qu’ils trouvent trop gras et probablement trop ossus. Il rajoute qu’avant d’ingurgiter ses proies (ici un poisson-chat), le Tantale prend le temps de « jongler » avec elles, histoire de rendre son repas plus « amusant » !!!...
_______ … Mais il n’en est rien non plus : l’échassier est bien obligé de casser méthodiquement les trois épines du P.-Chat (deux sur les nageoires pectorales et une en tête de la dorsale) à la piqûre irritante et douloureuse, avant d’ingurgiter sa prise, pour ménager son tube digestif… C’est une étape indispensable dont il se passerait volontiers car c’est à ce moment-là qu’il risque le plus de se la faire chaparder par de lestes et habiles prédateurs ailés. C’est exactement ce qui arrive au Jabiru de la vidéo n°1 qui se fait « doubler » pendant cette phase délicate par un jeune pygargue.
____ notez ce fait, qui illustre bien à quel point la « nature » fait bien les choses : le Jabiru en action de pêche ds ce trou d’eau aux ¾ desséché, patauge ds une boue épaisse ds laquelle il s’enfonce jusqu’aux genoux (regardez-le avancer péniblement lorsqu’il se déplace, et le temps mort nécessaire pr que sa patte regagne le fond lorsqu’il prend appui sur celle-ci, il s’y enfonce à vue d’oeil). L’eau est très boueuse, c’est un cloaque, comment voudriez-vous que le jeune pygargue, aigle réputé « pêcheur » aille farfouiller ds la vase visqueuse pr en extirper les chats et autre dipneustes, probablement les seules espèces qui restent avant l’assèchement total du marigot. S’il n’avait pas cette option un peu « limite », il serait bon pr crever de faim ; les spécialistes ratisseurs de vase n’ont plus qu’à se trouver un autre fish, ils ont le savoir faire pr cela.
________ Pour le Héron Goliath (Ardea goliath), le plus grand des hérons de la planète (envergure 2m30), qui a pr coutume d’harponner ses grosses proies à l’aide de son puissant bec en guise d’épieu comme le faisait le géant Philistin Goliath pr empaler ses adversaire avec une énorme lance qui avait la taille d’une « ensouple de tisserand » selon la Bible, même si le poisson-chat est ici nettement plus gros que la moyenne, il doit absolument casser et rendre inopérantes (même une fois le poisson mort) les redoutables « poinçons » que sont ces 3 arêtes spéciales.
_______ Le vidéaste a complètement zappé cette étape importante car lorsqu’on revoit le héron King Size (grand modèle ) sur le point de l’avaler, le fish est tout sanguinolent, lardé de coups de sabre, passé à l'attendrisseur et passablement démantibulé, ce qui laisse supposer qu’il l’a bel et bien « préparé » pr se le rendre comestible… sans encombre, donc sans les "clous' .

HERON GOLIATH (Ardea goliath) SWALLOWS MASSIVE CATFISH 3’30 harponnage flagrant, à plusieurs reprises, Enorme !! souvenez-vous quand je vous ai parlé des aigrettes ardoisées (parapluies ou parasols)… on en voit bien une harponner, transpercer un tilapia avec son bec en forme de dague.

Ces trois techniciens-experts de la chasse en milieu aquatique ont tous un point commun : ils cassent systématiquement les arêtes pointues (les 3 piquants) des P.chats !! Alors toujours deux solutions, SOIT ils puisent ds la réserve de QI qui leur est individuellement impartie (... ds ce cas par Qui ?) et leur comportement s'inspire alors soit de leur expérience personnelle soit de l'observation des autres échassiers de leur espèce ou d'autres, qui fréquentent les mêmes points d'eau, SOIT ce comportement vital est gravé ds leur ADN et leur comportement est donc génétiquement programmé... par Qui ? ... je vs laisse trouver la réponse ...

Le Cormoran et le (gros) Poisson-chat

_______ Regardez tt d’abord cette vidéo et le texte ci-après qui l’accompagne, en gardant présent à l’esprit mn dernier post sur les hérons et "cigognes" (Jabiru & Tantale Ibis) casseurs d’éperons toxiques des poissons-chats. Nous parlons d'Intelligence Animale...le post qui viendra de suite après devrait vous surprendre et vs intéresser… du moins je l’espère .

https://www.youtube.com/watch?v=Q6lKFiVn_F4 The Cormorant and The Catfish 5’13

[Traduction : chaque point correspond à un des sous-titrages de la vidéo]

• Ce vieux « z’yeux bleus » est de retour… et il a faim !
• Le cormoran est un gros mangeur [littéralement quelqu’un qui aime bien faire la « bombe »]
• Normalement, il se gave de petits/moyens poissons… jusqu’à ce qu’un poisson plus gros vienne rôder ds les parages
• Il capture sans peine le P.chat en « volant » - au sens propre - après lui sous l’eau
• Ça y est, il l’a eu ! [« Gotcha !» à 1’00]
• Le P.chat du Canal n’a pas d’écaille, il a juste une peau souple et douce [comme une peau d’anguille]
• Qui est recouverte d’une fine couche de mucus,
• Ce qui le rend particulièrement difficile à saisir
• Le glissant P.chat a également d’autres tours ds son sac – comme cet éperon venimeux qu’il porte à l’avant de son arête dorsale.
• Le bec du cormoran, c’est le seul outil dont il dispose
• Le P.chat verrouille ses éperons venimeux (en position de défense] situés à l’avant de ses nageoires principales [la dorsale et les deux pectorales]
• Le poison contenu ds ces éperons, chez les plus gros sujets, ont même tué des humains [1’50]
• Les deux parties du bec du cormoran ont la forme de deux « hameçons », crochets ou gaffes positionnées face à face (comme un compas d’épaisseur, pr ceux qui connaissent la mécanique]…
• Et c’est très exactement ainsi qu’il fonctionne [2’06]
• Il maintient le P.chat (comme avec des pincettes) en prenant bien garde d’éviter de se faire piquer par les éperons venimeux
• Tout doucement, petit à petit, il fait son chemin vers la tête du « chat »
• Ce faisant il remorque le fish vers des eaux peu profondes où il lui sera plus difficile de lui échapper
• Le gros poisson tente de se dégager hors de l’eau et au moment où ils atteignent la zone des eaux moins profondes, le cormoran remonte graduellement le corps du « chat » jusqu’aux ouïes
• Une fois qu’il a sa tête dans le bec du cormoran, le P.chat est déjà dans le couloir de la mort [2’47]
• Le cormoran balance alors (vigoureusement) le « chat » par-dessus son épaule…
• Ce qui a pour effet de le mettre en état de choc : il est toujours vivant et conscient, mais se trouve incapable de bouger un tant soit peu
• Le bec du cormoran, c’est deux gaffes (ou 2 crocs de boucher) plutôt qu’un couteau [3’10]
• Ce qui implique forcément que tout poisson, y compris le plus gros, doit être ingurgité en entier, d’un seul tenant ou dd’un seul bloc !!
• Le cormoran, même affamé, doit donc se montrer patient
• on a trouvé des oiseaux morts, tués par les éperons mortels des P.chats
• Le cormoran tient fermement le P.chat par derrière, pr qu’il se tienne tranquille et le traine vers la rive
• Un P.chat bien gras, c’est vraiment trop bon… le cormoran a encore une autre combine en réserve : l’articulation de ses mâchoires peut se distendre et se désolidariser exactement comme celles d’un serpent[3’59]
• L’un des éperons du chat, situé près d’une de ses nageoires pectorales, s’oppose à la manœuvre du cormoran [gène la progression vers le gosier]
• L’éperon le plus long, celui qui est situé à côté (au devant) de la nageoire dorsale doit être délicatement (avec précaution) replié également
• Maintenant c’est au tour du deuxième éperon pectoral : collé au coin du bec de l’oiseau [4’18), il est en passe de suivre le même chemin.
• … avec tous ses éperons neutralisés, le P.chat est prêt pr la dernière étape, son ultime nage… [vers l’estomac du prédateur ! ]
• C’est parti ! [4’34]

Conclusion du vidéaste : « Je n’arrive pas à croire qu’il ait réussi à avaler entier, d'un seul bloc cette énorme "chose" ! ».

@ + Caadix ... .../ Roland

La frénésie des Cormorans pros crée le contraste avec les précautions prises vis à vis des P.chats &...
"les aiguillons des poissons-chats, pourquoi ?"

Vidéo n°1 : Oiseaux pêcheurs de Chine 3’04

https://www.youtube.com/watch?v=JNEplaYZtpI 3'30 https://www.youtube.com/watch?v=K8veLomrius Anhinga des Everglades assomme P.Chat Vidéo n°2

________ Vs avez bien noté, sur le dernier post du sam 17/09/2016 le protocole particulier que tous ces oiseaux (Jabiru, Tantale Ibis, Cormorans) respectent à la lettre pr éviter de se faire gravement déchirer/infecter/endommager le gosier lorsqu’ils avalent un poisson-chat ; cela « jure » considérablement avec la frénésie destructrice des hardes de pêcheurs professionnels que sont les cormorans-esclaves d’Orient * que leurs maîtres envoient à l’eau après en avoir frappé vigoureusement la surface avec le plat de leurs grandes rames pour affoler la poiscaille sous-jacente … s’ils s’amusaient à pêcher des chats à ce moment là, il y aurait de la casse ds les troupes à tous les coups, c’est certain !
* (rappel)…à qui on bague le cou afin qu’ils ne puissent avaler le produit de leur pêche… qu’on leur fait régurgiter d’ailleurs, et ss ménagement le plus souvent !

________ Il est donc évident que pour chaque type de chasse, en fonction du poisson présent ou ciblé, la petite cervelle d’oiseau du cormoran adapte la stratégie qu’il doit mettre en œuvre en fonction de ses proies ; et il a très bien classifié ds sa tête quel poisson peut être – même gros – chassé ss risque, et quel autre doit être – même petit – manipulé avec les plus grandes précautions.
________ Ds la vidéo d’aujourd’hui, des pêcheurs pros utilisent des cormorans pr leur pêche ; le gars sort, paradoxalement, d’un de ses gros tubes de bambou qui lui sert de vivier sur son radeau, en guise de récompense pr son brave piaf qui a bien travaillé… un POISSON-CHAT ! S’agirait-il d’un contre exemple ?? Non, pas du tout : les poissons-chats sont considérés un peu partout comme du fish de second ordre (à tort car grillé/persillé/aillé ça peut être excellent, aussi fin que l’anguille) ; vorace et éclectique comme il est, il est en outre vraiment très facile à pêcher. Il suffit donc au pêcheur d’envoyer ses enfants (…petits enfants ou neveux) s’amuser à en attraper une série, de leur éradiquer à l’aide d’une pince coupante ou de ciseaux les trois aiguillons fatidiques… et de les mettre ds le vivier de bord quand il part à la pêche pr avoir une monnaie d’échange « bon marché » pr rétribuer ses précieux volatiles.
_______ L’homme croit y gagner au change et berner ces « stupides oiseaux », du moins c’est ce qu’il pense, mais les oiseaux eux sont gagnants sur tous les plans : déjà il n’y a pas l’affaire des éperons à gérer * et ensuite la chair grasse, la peau souple et la super glisse du corps des "chats" ds leur œsophage irrité par les déglutitions forcées à répétition leur convient parfaitement.
* si LES chats du vivier (il y en a forcément plusieurs pr assurer l’intendance des troupes, en l’occurrence le ravitaillement de la cantine afin que les petits soldats aient le moral pr retourner au front) si ces chats-là donc avaient encore leurs aiguillons venimeux, ds un espace aussi confiné qu’est un compartiment de bambou, même de gros diamètre, il y aurait des piquants acérés en vadrouille partout et la main du pêcheur en ressortirait ensanglantée et passablement endolorie, ce qui n’est manifestement pas le cas donc il n’y a plus d’épines à ce moment-là sur les "chats" parqués dans le vivier.

________ Maintenant, la question "existentielle" que l’on pourrait se poser c’est Pourquoi ces aiguillons sur les nageoires des « chats » ? C’est un arme de défense, certes… mais si elle ne doit servir qu'en guise de dissuasion « post mortem », quel intérêt pr celui qui a été dévoré ? De toute évidence aucun !... mais pr l’espèce, par contre il en va tout autrement : les prédateurs qui se sont fait avoir un jour ou l’autre y regardent à deux fois avant de tenter une nouvelle expérience et ils sont bien obligés de trouver la bonne technique pr ne pas risquer leur propre vie ou des blessures graves juste histoire d’en déguster un.
________ Par conséquent ça en dissuade forcément certains, ce qui limite déjà un peu le nombre de prédateurs potentiels. Mais alors, QUI (?) a pensé pour eux et s’est préoccupé globalement de la préservation, de la pérennité de l’espèce à long terme ? « Mère Nature » ? , l’Evolution ? …qui se serait projetée ds l’avenir et se serait dit « comme cela ça va limiter les dégâts sur les populations mondiales de P.chats au fil du temps et protéger quelque peu l’espèce ?

Notez que lorsqu’ils sont repliés – comme ils le sont ds le gosier des oiseaux prédateurs au moment où ils sont avalés – pour un poisson-chat( mort, bien entendu), les aiguillons sont absolument inoffensifs ; preuve en est qu’en Asie et en Amérique Centrale et du Sud (Amazonie) où ils prolifèrent, on peut en voir parfois des concentrations phénoménales de milliers d’individus, parfois assez gros, agglutinés presqu’à sec aux endroits où les villageois jettent leurs détritus de cuisine, et ma foi, il ne semble pas y avoir de dégâts collatéraux majeurs parmi la population piscicole qui seraient dus aux milliers x 3 aiguillons présents sur site : leurs "crans d'arrêts" ne sont pas armés, ils ne se blessent pas entre eux.
___ Si ce n’est pas toujours le cas pr d’autres poissons ne présentant pas de risque particulier qui sont volontiers avalés vivants, j’ai noté l’attention particulière que les oiseaux apportent au fait de bien s’assurer que le p.chat est mort et bien mort, donc inerte, avant de l’inviter dans les parties délicates & intimes de leur organisme (le gosier puis l'estomac). Regardez la détermination de cet Anhinga des Everglades (vidéo 2) pr bien achever ce type de « chat » local avant de l’ingurgiter. Ils ne se donnent pas cette peine pr les autres poissons !
Anhinga beats a fish to death – Everglades 3’30 https://www.youtube.com/watch?v=K8veLomrius

La tête d’un oiseau a la stabilité d’un rotor d’hélicoptère
... et ce, quels que soient les mouvements auxquels le corps de l’animal est soumis… exemples

Le dispositif est si fiable et constant que les industriels ont fait plancher leurs ingénieurs pr essayer d’en imiter les mécanismes afin d’en retirer tous les précieux avantages techniques

La tête de la poule reste stable, quelles que soient les contraintes et secousses auxquelles sont corps est soumis voir Steady feathers : LG G2 – the most extrême camera ever « Chicken » 2’27 (Djep le ch’ti, post du 2/02/2015 Bar du Port > Espace No Limit > caméra embarquée) lien n°1 seul car rappel https://www.youtube.com/watch?v=VRKu785 ... l=85114404 C’est pr une pub, mais c’est vraiment à voir.
+ pour confirmation Smarter EveryDay : Chicken Head Tracking – Smarter Every Day 1’43 https://www.youtube.com/watch?v=_dPlkFPowCc (lien n°2)

Pied Kingfisher catching fish in split second [Martin Pêcheur Pie capturant un poisson en une fraction de seconde (1/50ème !)]– BBC wildlife 2’46 Ceryle rudis (Est de l’Europe, toute l’Asie et ¾ Sud de l’Afrique) https://www.youtube.com/watch?v=6YRM0sy3xIY plonge d’une dizaine de mètres !! 3 étages et demi d’un bâtiment moderne, plafond standard à 2,50 m.vidéo 1

2'26 https://www.youtube.com/watch?v=6YRM0sy3xIY 2'06 https://www.youtube.com/watch?v=OYVtdZdiD9k

& en vidéo 2, Vol géostationnaire des colibris pr continuer à pomper – dans toutes les positions – leur nectar au fond du calice des fleurs et au travers des minuscules trous* pratiqués sur les « mangeoires/abreuvoirs » suspendus que l’on met à leur disposition sur les terrasses du Sud des States. Si leur corps bouge sans arrêt avec fébrilité, leur tête, elle, ne bouge pas d’un iota !
* minuscules probablement pr éviter que les insectes, également friands du nectar sucré et d’eau, ne s’y engouffrent en masse.

Colibris aux feeders [lien seul (n°3) car rappel] - durée ~2 heures ! mais relaxant) https://www.youtube.com/watch?v=PV4RuUfL4Vc
Slo-mo HummingBird feeding closeup 2’09 https://www.youtube.com/watch?v=OYVtdZdiD9k Vidéo 2

___ Alors Poule, Martin Pêcheur Pie, Colibri... quel rapport y a-t-il entre eux ? Un seul : le concept d'une bio-technologie supérieure dont l'organisme de l'espèce a été doté & qui est profondément inscrit, gravé, finement ciselé dans leur ADN respectif, ce qui leur a permis de vivre et de survivre jusqu'à ce jour. Mais Qui (?) leur a donné cette extraordinaire faculté que nous essayons médiocrement d'imiter ? Un hasard aveugle ?? Allons, messieurs, soyons un peu sérieux

(La tête d’un oiseau a la stabilité d’un rotor d’hélicoptère)…suite

________ Nous en étions restés au lien qu’il pouvait y avoir entre une poule, un martin-pêcheur et un colibri quant à la stabilité de la tête en vol stationnaire ou pour ce qui est de garder un cap fixe quels que soient les mouvements auxquels leur corps est soumis ; mais c’étaient tous des oiseaux !
________ Mon propos d’aujourd’hui est le suivant : une fois le concept bien établi par le Maître artisan qu’est notre Grand Concepteur, cela ne lui posait absolument aucune difficulté de l’étendre à d’autres espèces qui n’ont rien, mais absolument RIEN à voir ensemble comme les chiroptères (chauve-souris, donc mammifères volants) et les lépidoptères (Moro-Sphinx ou Sphinx-Colibris, insectes également volants) : ils n’ont pourtant aucun rapport avec le monde des oiseaux – hormis le fait de partager le même espace aérien – et pourtant, grâce aux facultés dont ils sont dotés, ils arrivent exactement au même résultat pr parvenir à butiner, donc à polliniser les fleurs, sans pratiquement bouger la tête quand ils volettent frénétiquement en faisant du «sur place».

Tiny Bat, Long Tongue – Science Take Vidéo 1

1'15 https://www.youtube.com/watch?v=mUloK7Zesx4 7'10 https://www.youtube.com/watch?v=EYLtpqkMSvU

Rappel : Chauves souris aux feeders à colibris à revoir pr le vol géostationnaire aux "tétines" https://www.youtube.com/watch?v=EBe2V4FlczQ 1’56

Hummigbird Moth Natures Incredible Mimic ! 7’10 Mark Fraser Vidéo 2 le Sphinx aurait "imité" le Colibri , tout est dit ds le titre !!!

________ Dans le texte de présentation (écrit) qui accompagne cette vidéo de 7’10 (en-dessous), le très sympathique Mark Fraser, grand admirateur et ami comme nous des merveilles de la nature, a la candeur de parler de « l’incroyable imitation du Sphinx-insecte » en parlant du Colibri !!! Faut-il être vraiment formaté par le système Évolutionniste qui a cours de nos jour, celui mis en place par l’ennemi personnel de Dieu (et donc le nôtre aussi) afin de tenter de l'effacer de nos esprits pr déclarer, sans broncher, de telles énormités. Franchement, comment une espèce d’un univers totalement différent pourrait-elle « imiter » une autre espèce au cours de son évolution pr parvenir, au final, exactement au même résultat ??? Oiseaux / mammifères / Insectes (Sphinx).
________ Notez enfin que si nous acceptons l'idée qu'il y a bel et bien eu Création spécifique, il y a une autre logique qui tient bien la route, c'est celle de la taille adaptée des indispensables pollinisateurs. Les chauves souris et le sphinx pollinisent déjà à l'aube et au crépuscule, voire même la nuit comme ns l'avons déjà vu et il est bien certain que Sphinx et autres insectes de plus en plus petits seront à même de fertiliser d'autres fleurs plus petites et plus délicates - mais néanmoins indispensables à l'équilibre et à l'harmonie générale du système - là où les colibris, ces minuscules oiseaux, sont encore trop gros (ou, selon les latitudes, tt simplement absents,inexistants).
________ Regardez aussi la similitude conceptuelle des ailes du papillon-sphinx et du colibri et la queue en éventail qui sert d'aileron-frein stabilisateur, c'est bluffant et pourtant l'un est un insecte et l'autre un oiseau .

Un gruppetto de baleines à bosse pris en flagrant délit de pêche collective organisée dite au « filet de bulles »…

(…de CO2, rappel) sur un banc de harengs avec jackpot de fish à la clé pour elles (elles ont l'air "accro" et elles en croquent un max !) par un couple de courageux kayakistes-vidéastes qui se sont fait au passage une belle frayeur quand-même ! Superbe CR ; ce qui est remarquable c'est que les baleines pratiquent leur chasse sans se préoccuper le moins du monde de la présence humaine ! Vidéo 1

2’33 https://www.youtube.com/watch?v=G10_wHNNPeI 2'27 https://www.youtube.com/watch?v=Dn9XJwxkUiY

J’avais déjà évoqué ce passionnant sujet via un post en juillet 2016 : Chasses organisées (baleines à bosse) au moyen de filets de bulles 4’16 18/07/2016 Page 13 du sujet Intelligence Animale https://www.youtube.com/watch?v=Q8iDcLTD9wQ, celui-ci est donc un complément ou une confirmation

Intelligence Animale : voyez aussi la confiance qui règne aujourd’hui entre les cétacés « sauvages », ou plutôt en liberté, et l’Homme...dans des zones où elle n'est plus chassée, bien entendu.

Une mère baleine vient hisser son baleineau au bord d’un bateau pour le présenter aux humains 2’27 émouvant & beau ! Vidéo 2 peut-être pr lui faire comprendre qu'il n'aura rien à craindre de ces humains-là ?

et cette autre baleine qui vient en toute quiétude demander de l’aide à des kayakistes dans le Queensland (Australie) 2’40 https://www.youtube.com/watch?v=gEZSziTlbhY

Le sinistre joker des vautours fauves pyrénéens réintroduits…

Intelligences (machiavéliques) ds le monde animal : Leur attitude est des plus parlantes : « ah vous n’avez pas assez de carcasses à ns fournir pr le nombre que l’on est (ou plutôt que l’on est devenu)? Ne vs inquiétez pas pour nous, on sait où en trouver !! » Sous-entendu : « … s’il n’y en a pas, nous on sait comment ça se fabrique » !
________ Après m’être oxygéné les méninges qques jours ds les Pyrénées Atlantiques / à la limite des « Hautes », en compagnie de mn épouse, je reviens vers vous avec une histoire « intéressante » (peut-être pas, hélas, pr les éleveurs concernés) mais en tt cas remarquable : celle du vautour fauve qui a été réintroduit de manière irresponsable (parce que non contrôlée ni régulée) il y a seulement quelques décennies.
________ Le pb vient du fait qu’il a été régulièrement nourri sur des « placettes d’équarrissage naturel » dédiées, c’est le terme employé, où on lui offrait sur un plateau toutes sortes de carcasses d’animaux bien odorantes à venir curer à sa guise… tout en le protégeant par ailleurs à outrance (comme on l'a fait en Europe avec les cormorans qui saccagent nos rivières et nos étangs !! Avec le résultat qu’on connait). Conséquence directe : il prolifère ! Et en grosses colonies de plusieurs centaines d’individus, ils deviennent parfois dangereux non seulement pr le bétail en position de vulnérabilité, comme on va le voir, mais peuvent aussi le devenir pr l’homme isolé et / ou gravement blessé en altitude, leur territoire de prédilection.

Intelligence Animale : Comme ils sont bien trop nombreux donc, par rapport au nombre de carcasses qu’on leur concède, ils ont trouvé la solution – leur solution ! – celle de transformer n’importe quel bovidé, équidé, voire ovin vivant en une délicieuse carcasse à nettoyer « en famille », et tt ça en un « tour de bec » ! en jouant à l’apprenti sorcier, l’Homme a découvert comment générer une boîte de Pandore !!
________ Pour ce faire, ils vont donc cibler d’abord – en nombre – un animal affaibli, amoindri par l’âge, une mauvaise blessure ou une maladie, un mouton par exemple ; ils vont commencer par l’isoler du troupeau et de ses chiens, le harceler jusqu’à le faire trébucher ds un creux, une excavation du terrain, bref ds un cul-de-sac… et là, une fois l’animal bloqué,coincé ds le fond du trou c’est la curie générale.Mais la méthode qu’ils affectionnent le plus, c’est de s’en prendre à une vache ou une jument qui est en train de mettre bas ds la nature, là-haut ds les alpages ou « zones de pastoralisme » : la pauvre mère, à cet instant précis, est vulnérable au plus haut point. Une fois la proie repérée de loin (et de haut) grâce à leur odorat très développé (placenta) et à leur vue perçante, c’est juste à ce moment-là qu’ils en profitent pr se poser au sol et l’attaquer par derrière.
________ Et là… je vs le donne en 1000 : l’un d’eux plonge la tête dans la matrice de la bête et y sectionne net, instantanément comme au scalpel de chirurgie d’un coup de son gros bec crochu et coupant l’artère fémorale de l’animal . Ce qui provoque bien entendu une hémorragie massive qui le vide de son sang en quelques minutes et une fois qu’il est passé de vie à trépas, ce dernier devient en suivant la nouvelle carcasse à curer !!! Le veau ou le poulain naissant s’en sort indemne, parfois, m’a-t-on dit, et dès qu’il a réussi à se mettre sur pattes, il ne risque normalement plus rien : en principe ils n’attaquent pas un animal sain debout.
________ J’ai entendu aux informations régionales, ici ds le Sud-ouest, il y a de cela quelques années, une troisième technique utilisée par les vautours pyrénéens, côté français et espagnol confondus dans des « congrès aériens », des concentrations phénoménales avoisinant les 300 individus qui chassent alors comme les aigles en affolant une grosse bête ds les montagnes, en altitude, comme une vache ou un cheval et en l’acculant sur le bord d’une falaise, d’un précipice il l’effraient jusqu’à le faire basculer dans le vide… et une fois qu’il s’est fracassé en contrebas il devient évidemment et tt naturellement une simple carcasse qu’ils n’ont plus qu’à décortiquer méthodiquement.
________ Ceci dit, le vautour avait normalement sa place ds le paysage pyrénéen, avant qu’il ne disparaisse et ne soit réintroduit « artificiellement » ; mais il était alors en nombre très limité, et à ce titre avait tt à fait sa place ds l’écosystème la région où il était même très utile aux éleveurs en faisant son travail de « nettoyeur champêtre » du bétail mort de mort naturelle (maladie ou accident).
________ Le fauteur de trouble, finalement, c’est l’Homme lui-même.

Lien vers le journal La Répubique des Pyrénées http://www.larepubliquedespyrenees.fr/2 ... 017952.php

________ Comme cela est évoqué au bas de la page de ce lien, les éleveurs peinent à être indemnisés à cause d’un vide juridique : les dégâts causés par les prédateurs sont bel et bien pris en charge… mais le vautour n’est officiellement toujours pas un prédateur reconnu, mais un simple animal nécrophage… Tout comme le corbeau que je vs propose maintenant !!!

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Corbeaux vs agneaux

https://www.youtube.com/watch?v=wD4_Y7NNG_Y

________ le texte qui apparaît (en anglais) sur la vidéo explique que lorsque la brebis met bas deux ou trois agneaux en même temps, pendant qu’elle continue son « travail », elle ne peut s’occuper du premier ou de ceux déjà nés, et les corbeaux qui, sont reconnus pr être des oiseaux très intelligents, profitent de cette faille pour attaquer et tuer le ou les nouveau(x) né(s) déjà sortis. Le deuxième texte dit qu’en fait le corbeau ne tue pas directement l’agneau, mais qu’il lui mange d’abord les yeux puis la langue ou bien il l’attaque par les parties intimes et à l’anus (peut-être aussi en sectionnant l’artère fémorale par la même occasion, comme le fait notre vautour) résultat : la pauvre bête meurt rapidement, complètement exsangue, vidée de son sang, et il peut alors la déchiqueter et s’en repaître comme s’il s’agissait d’une vulgaire charogne .

Quand Goupil & ses potes maffieux roulent (en) les limousines ou le génie du renard

________ En guise d’épilogue sur la vulnérabilité des bêtes qui mettent bas, sans présence humaine, en pleins champs, je vs livre ci-après ce que m’a dit aujourd’hui même une de mes filles qui vit avec un éleveur de bovins de race limousine, en Corrèze.
________ Voilà donc comment les renards du coin procèdent : Lorsqu’une vache est en train de vêler au milieu d’un champs, la nuit, ils sont là, attirés par l’odeur du placenta (comme les vautours et les corbeaux de mn post précédent) qu’ils dévorent après coup, au pis aller, en désespoir de cause, car la mère veille jalousement sur sa progéniture …
________ …Mais si une génisse, c'est-à-dire une jeune mère inexpérimentée, a la mauvaise idée de mettre bas à proximité de la clôture électrique ou « Gallagher », c’est une tout autre affaire : en mini bande de malfrats organisés ils attendent patiemment que le veau soit sorti, ils s’en saisissent alors à deux ou trois (le nouveau-né pèse une quarantaine de kgs), le traînent hors de l’enclos – la sangle électrifiée est à ~ 0.80 m du sol * – donc hors de portée de la vache et là ils le dévorent tranquillement sous les yeux médusé et impuissants de la pauvre mère qui ne peut en aucune manière voler au secours de son nourrisson .
________ Il y a trois ans de cela, ils ont perdu ainsi, selon le même scénario, trois veaux dans la même année... depuis ils s'arrangent pr que les bêtes puissent vêler au calme ds l'étable, en les y confinant lorsqu'ills estiment qu'elles sont à terme.

* ils passent à l'aise au-dessous avec leur proie de la taille d'un beau chien.