T'as bien raison, faut toujours creuser... Une amorce de réponse :
TEXTE 1
Les banquiers privés placent leurs hommes au cœur des Etats et privatisent à nouveau la création monétaire George Pompidou, avant d’être président de la République était un banquier. De 1945 à son élection comme président de la République en 1969. Pompidou exercera des fonctions au sein du gouvernement français tout en continuant durant plusieurs périodes travaillées au service de la banque Rotschild 1954 à 1958 et de 1959 à 1962. Le 8 janvier 1959 il est devient Directeur général de la Banque Rothschild. Pourtant, il sera néanmoins nommé en mars 1959 au Conseil constitutionnel où il siégera jusqu’en 1962. On observe donc à nouveau un grave manque d’indépendance entre les intérêts de l’Etat français et ceux des intérêts privés des banques. Puis la banque de France a été nationalisée en 1945 par le Général de Gaule, donc durant cette période l’Etat retrouve le contrôle sur le crédit et sur la monnaie. Mais le président Pompidou, l’homme des banquiers de l’époque, ne l’entend pas de cette oreille. L’article 25 de la loi du 3 janvier 1973, de Pompidou et Giscard d’Estaing, "interdit au Trésor public d’être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France". L’Etat français bascule donc à nouveau sous l’emprise financière directe des banquiers privés.
TEXTE 2
Rappel : Les banquiers placent des hommes au cœur des Etats et privatisent la création monétaire. George Pompidou était banquier avant d’être président, il travailla au sein du gouvernement français et continua plusieurs années à travailler au service de la banque Rotschild (1954 à 1958 et de 1959 à 1962). On imagine aisément les conflits d'intérêts résultant de ce double emploi et ayant pour point culminant la loi Pompidou giscard qui redonne le droit aux banques privées de prêter à l'état français. La France redevient donc à nouveau sous l’emprise financière des banquiers.
La loi en bref : L'état français est obligé d'emprunter aux banques privés à des taux souvent très supérieurs à ce que la banque de France proposait. Le contribuable français paye donc ces intérêts aux banques via les impôts, c'est ce qui pourrait s'appeler une taxe bancaire déguisée ...
TEXTE 3 - Explication de VGE himself :
« La réforme des statuts de la Banque de France, adoptée sous le mandat de Georges Pompidou et lorsque j'étais ministre des Finances, est une réforme moderne qui a transposé en France la pratique en vigueur dans tous les grands pays : il s'agissait à l'époque de constituer un véritable marché des titres à court, moyen et long terme, qu'il soit émis par une entité privée ou publique », évitant ainsi « une situation d'inflation monétaire permanente ».
TEXTE 4 - Réponse à l'argument de l'inflation :
VGE justifie l'adoption de cette loi en remarquant que cette démarche s'était imposée dans tous les grands pays au moment de sa promulgation ; est-ce pour autant que la mesure est judicieuse ? Les faits nous démontrent aujourd’hui que ce n'était pas le cas !!!
Il rappelle par ailleurs que le système de prêt d'une banque centrale à l'Etat est générateur d'inflation : ceci est vrai mais soulignons que l'inflation est un mécanisme qui, s'il pénalise les placements financiers, avantage néanmoins les emprunteurs... ainsi, l'augmentation des prix est compensée par une augmentation des salaires ; la part d'un emprunt à taux fixe pèse donc de moins en moins sur le budget du ménage à mesure que l'on approche du terme du remboursement.
Notons que le poids de la dette publique consécutive à cette loi oblige à une politique d'austérité avec toutes les conséquences qui en découlent (chômage, précarité, dégradation de la qualité des services publics, vente du patrimoine national...). Si inflation il y a, elle n'est, aujourd'hui, plus compensée par l'augmentation des salaires ; ceux-ci tendent à stagner, voire, dans certains cas, à régresser ! L'inflation, soi-disant combattue par cette loi, était un moindre mal, comparée aux ravages qu'elle a, depuis, engendrés !
Enfin, la dernière partie de sa réponse consiste à soigneusement éviter la question cruciale des intérêts versés aux organismes financiers privés et de se borner à rappeler que le capital emprunté, qu'il soit celui de la Banque de France ou bien des banques privées se doit d'être remboursé.Evidemment emprunter aux banques privées a des taux supérieurs a la banque de france ce n"est pas une volontée d'endetter un pays ,le père de l'europe a bien travaillé a la chute de ,la france dans le piège mondialiste des initiés.....
T'en trouveras plein d'autres sur le net... Et des commentaires qui disent noir, d'autres qui disent blanc, et toutes les nuances de gris...
